Un plan à trois qui embrase les quais de Loire
Un samedi soir, rue de Bourgogne, les bars débordaient de jeunes ivres. Derrière une porte cochère du centre historique, dans un petit appartement étudiant aux poutres apparentes, l’atmosphère était toute autre. Julie et Clara, deux amies de fac, l’avaient invité après quelques verres place du Martroi. Lui, grand, barbe naissante, encore en jean et tee-shirt noir, ne s’attendait pas à ce qui allait suivre.
Les deux filles l’entourèrent aussitôt, lèvres contre lèvres, langues qui se mêlaient devant lui. Julie s’agenouilla, tirant sa braguette et prenant sa queue entière dans la bouche, gorge profonde, pendant que Clara lui roulait des baisers pleins de salive. La scène se reflétait dans la vitre qui donnait sur la rue Jeanne d’Arc, les volets entrouverts.
Très vite, Clara se mit nue, seins lourds, fesses rondes qu’elle offrit au bord du canapé. Il la pénétra d’un coup sec par-derrière, la tenant fermement par les hanches, pendant que Julie, à quatre pattes devant, se faisait lécher avidement par son amie. Les gémissements s’entrechoquaient, l’odeur de sueur et de sexe emplissant la pièce étroite.
Ils changèrent de position, les deux filles s’embrassant encore, s’arrachant leurs culottes en riant, l’une chevauchant son visage tandis que l’autre s’empalait sur sa bite. Le rythme devenait frénétique, cris étouffés par les coussins, griffures sur les cuisses, claquements secs résonnant contre le vieux parquet de l’appartement.
Julie vint la première, spasmes violents qui lui firent perdre l’équilibre. Clara suivit, convulsant, seins secoués, en hurlant son orgasme. Lui finit en les tenant toutes les deux par les cheveux, jouissant dans un mélange de sueur, de salive et de jouissance partagée.
Dehors, les cloches de la cathédrale sonnaient minuit. Mais dans ce petit appartement d’Orléans, le temps s’était figé autour d’un plan à trois incandescent.