Rencontres sexuelles et amoureuses entre vegans à Orléans
En début de soirée, quai du Châtelet, le soleil tombait sur la Loire et les terrasses commençaient à se remplir. Elle, blonde en robe fluide, sortait d’un restaurant végétalien de la rue de la Charpenterie. Lui, étudiant en agro, revenait d’une réunion associative pro-bio. Ils marchèrent ensemble, échangeant sur les menus sans viande, puis s’arrêtèrent à l’ombre d’une arche donnant sur la promenade.
Leur baiser fut immédiat, humide, insistant. Elle le guida contre la rambarde en fer qui donnait sur le fleuve, la jupe déjà relevée. Cette fois, ce fut elle qui s’agenouilla : sa bouche engloutit son sexe avec une avidité féroce, suçant profondément, salive dégoulinant le long de sa queue. Ses mains agrippaient ses cuisses, le regard levé vers lui, tandis que le courant de la Loire faisait résonner le silence alentour.
Il la tira brutalement pour la redresser, retourna son corps contre la rambarde. Ses seins jaillirent quand il écarta sa robe, et il pinça ses tétons durcis avant de la pénétrer d’un seul coup. Ses coups de reins faisaient grincer le métal, son bassin cognant le sien dans une cadence animale. Elle gémissait si fort qu’il lui mit deux doigts dans la bouche pour la faire taire, tout en continuant à la pilonner.
Puis il la fit s’accroupir, jambes écartées sur les pavés humides, et la pénétra à nouveau, ses fesses claquant contre les siennes. Ses genoux râpaient contre la pierre, ses gémissements montaient, jusqu’à ce qu’elle vienne violemment, tremblante, écoulant sa jouissance sur ses cuisses. Lui la suivit aussitôt, se vidant en elle dans un râle guttural, la tenant fermement contre lui.
Ils restèrent quelques instants collés, haletants, le fleuve en arrière-plan. Puis, riant nerveusement, ils se rhabillèrent, reprenant leur marche le long des quais comme deux promeneurs anodins.