À Orléans, le vegan se vit aussi sous la couette

Marchés bio, associations militantes, dîners végé qui finissent en ébats torrides… Ici, l’amour vegan se croque à pleines dents.

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Lieux chauds :
Place du MartroiRue de BourgogneQuais de Loire
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Rencontres sexuelles et amoureuses entre vegans à Orléans

En début de soirée, quai du Châtelet, le soleil tombait sur la Loire et les terrasses commençaient à se remplir. Elle, blonde en robe fluide, sortait d’un restaurant végétalien de la rue de la Charpenterie. Lui, étudiant en agro, revenait d’une réunion associative pro-bio. Ils marchèrent ensemble, échangeant sur les menus sans viande, puis s’arrêtèrent à l’ombre d’une arche donnant sur la promenade.

Leur baiser fut immédiat, humide, insistant. Elle le guida contre la rambarde en fer qui donnait sur le fleuve, la jupe déjà relevée. Cette fois, ce fut elle qui s’agenouilla : sa bouche engloutit son sexe avec une avidité féroce, suçant profondément, salive dégoulinant le long de sa queue. Ses mains agrippaient ses cuisses, le regard levé vers lui, tandis que le courant de la Loire faisait résonner le silence alentour.

Il la tira brutalement pour la redresser, retourna son corps contre la rambarde. Ses seins jaillirent quand il écarta sa robe, et il pinça ses tétons durcis avant de la pénétrer d’un seul coup. Ses coups de reins faisaient grincer le métal, son bassin cognant le sien dans une cadence animale. Elle gémissait si fort qu’il lui mit deux doigts dans la bouche pour la faire taire, tout en continuant à la pilonner.

Puis il la fit s’accroupir, jambes écartées sur les pavés humides, et la pénétra à nouveau, ses fesses claquant contre les siennes. Ses genoux râpaient contre la pierre, ses gémissements montaient, jusqu’à ce qu’elle vienne violemment, tremblante, écoulant sa jouissance sur ses cuisses. Lui la suivit aussitôt, se vidant en elle dans un râle guttural, la tenant fermement contre lui.

Ils restèrent quelques instants collés, haletants, le fleuve en arrière-plan. Puis, riant nerveusement, ils se rhabillèrent, reprenant leur marche le long des quais comme deux promeneurs anodins.

Rencontres sexuelles et amoureuses entre vegans à Orléans

Un dimanche matin, marché place du Martroi, les stands débordaient de légumes bio et de fromages végétaux. Elle, brune au regard noir, tee-shirt militant “Go Vegan”, sac en toile rempli de kale et de seitan. Lui, barbe courte, tatouage d’une feuille de chanvre sur l’avant-bras, short en lin, discutait avec le maraîcher. Leurs regards se croisèrent devant un étal de pommes du Val de Loire — le courant passa immédiatement.

Ils quittèrent ensemble la foule pour remonter vers la rue de Bourgogne. Dans une arrière-cour, sous un porche ancien couvert de lierre, il la plaqua contre le mur de pierre. Leurs bouches se dévorèrent, salive mêlée à l’odeur de fruits écrasés. Ses mains descendirent sous sa jupe en coton bio, trouvant une culotte déjà trempée. Elle gémissait fort, griffant son torse nu quand il écarta le tissu et la pénétra d’un coup sec, brutal.

Ses fesses claquaient contre ses cuisses, ses seins bondissaient sous son tee-shirt. Elle l’encourageait à aller plus profond, la voix tremblante, les jambes serrées autour de lui. Il accéléra, ses coups de reins résonnant contre la pierre humide, l’odeur de basilic et de tomates de son sac se mêlant à celle de la sueur et du sexe.

Elle jouit d’abord, convulsant, ses ongles laissant des traînées rouges sur ses épaules. Lui se vida en elle en râlant, son front collé à sa poitrine, corps trempé. Quand ils se rhabillèrent, elle ramassa son sac de légumes et il remit sa chemise froissée. Ensemble, ils ressortirent dans la rue animée, comme deux inconnus parmi la foule.

Rencontres sexuelles et amoureuses entre vegans à Orléans

Camille et Thomas revenaient du marché bio place du Martroi, sacs chargés de courgettes et de tofu fumé. Dans une ruelle près de la cathédrale, Camille se plaqua contre le mur, releva sa robe en lin et guida Thomas en elle d’un geste impatient, les légumes roulant au sol. Leurs gémissements couvraient presque les cloches de Sainte-Croix, mélangeant sueur, désir et odeur de basilic écrasé.

Orléans met du piment au vegan

Ici, les vegans se connectent pour plus qu’un smoothie ou un brunch bio : une communauté de plaisir et de désir partagé t’attend.

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