Une nuit libertine torride dans la Ville Rose
La chaleur de la Ville Rose était encore moite quand Clara et Julien rejoignirent les quais de la Daurade. Ce soir-là, ils n’étaient pas seuls : Sophie et Damien les attendaient déjà, adossés contre la rambarde, le regard brillant de promesses salaces. Mais cette fois, le plan n’était pas seulement libertin : ils avaient décidé d’ajouter une touche de soumission et de jeux BDSM à leur rencontre.
Sophie sortit de son sac une paire de menottes métalliques qui cliquetaient doucement dans la nuit. Elle s’approcha de Clara, lui caressa le bras, et, sans prévenir, lui attacha les poignets derrière le dos. La sensation du métal froid sur sa peau chaude fit monter un frisson qui se transforma vite en excitation brûlante.
— Ce soir, tu obéis, murmura Sophie à son oreille avant de la tirer par les cheveux.
Ils ne restèrent pas longtemps dehors. Après quelques attouchements furtifs sur les marches qui descendaient vers la Garonne — Julien faisait déjà coulisser ses doigts dans la culotte détrempée de Clara pendant que Damien lui pinçait les tétons à travers le tissu — le quatuor prit la direction d’un loft discret, du côté de Saint-Cyprien, aménagé spécialement pour ce genre de jeux.
À l’intérieur, les murs sombres et les miroirs créaient une atmosphère lourde. Des cordes, cravaches et masques attendaient sur une table basse. Julien, qui aimait dominer, ordonna à Clara de se mettre à genoux, menottée, face à Sophie. Cette dernière s’assit dans un fauteuil, écartant ses cuisses, et approcha son sexe rasé de la bouche de Clara.
— Lèche, ordonna Julien d’une voix ferme.
Clara, prisonnière de ses menottes, obéit aussitôt, enfonçant sa langue dans les plis juteux de Sophie. Celle-ci agrippa sa chevelure, guidant chaque mouvement. Ses gémissements montaient, secs et puissants, résonnant dans la pièce.
Pendant ce temps, Damien s’était mis derrière Julien. Leurs chemises tombèrent vite au sol. Il sortit sa bite dure, la pressa contre les lèvres de Julien qui la prit goulûment dans sa bouche. Le claquement humide des va-et-vient se mélangeait aux soupirs féminins.
Damien, électrisé, sortit un masque de cuir qu’il passa sur les yeux de Julien, le rendant aveugle. Ses mains glissaient alors partout sur son torse, serrant ses tétons, descendant sur sa queue déjà bandée. Julien haletait, soumis malgré lui, excité par ce contrôle.
Sophie, elle, venait de jouir violemment sur le visage de Clara, ses cuisses serrées contre sa tête. Elle se leva, reprit les menottes et traîna Clara vers le grand lit. Là, elle la fit allonger sur le ventre, ses poignets toujours prisonniers, et se plaça derrière elle avec un godemichet noir brillant.
— À toi de sentir ce que ça fait d’être prise, chuchota-t-elle.
Clara cria quand le gode la pénétra, son cul ondulant malgré les liens. Julien, aveugle et excité, supplia qu’on le baise aussi. Damien ne se fit pas prier : il le plaqua contre le mur, les mains liées dans le dos avec une corde cette fois, et enfonça sa bite en lui sans douceur. Les gémissements rauques emplissaient le loft, se mélangeant aux claquements des corps et aux ordres des dominants.
La sueur perlait sur leurs peaux, les joues rouges de plaisir et de douleur mêlés. Clara, menottée, supplia qu’on la libère, mais Sophie resserra encore les liens et la fit jouir ainsi, prisonnière, son corps secoué de spasmes incontrôlables. Julien, lui, finit par gicler sur le sol, le masque encore sur les yeux, poussé au-delà de ses limites par Damien.
Quand enfin les menottes tombèrent et que les cordes furent défaites, les quatre restèrent étendus sur le lit défait, haletants, luisants de sueur et de sperme. Le silence du matin filtrait à travers les persiennes. Sophie rompit le silence, un sourire carnassier aux lèvres :
— La prochaine fois, j’amène le fouet.
Julien et Clara échangèrent un regard excité et terrifié à la fois. Toulouse venait de leur offrir une nuit de libertinage hardcore, marquée par les chaînes, les cris et la jouissance sans tabou.