Nuits libertines torrides dans le centre de Besançon
Nuit tombée sur Besançon. Julien, 36 ans, marié depuis dix ans, avait découvert depuis peu l’univers libertin de la ville. Curieux et excité, il avait pris rendez-vous avec Clara et Maxime, un couple rencontré sur un site libertin local. Ils lui avaient proposé de les rejoindre un vendredi soir au club L’Extasia, discret, niché dans une petite zone artisanale à l’extérieur du centre.
À l’entrée, lumière tamisée, regards complices, Julien se sent à la fois intimidé et électrisé. Clara l’accueille d’un baiser langoureux, ses lèvres maquillées goûtant le vin qu’elle venait de siroter au bar. Maxime, détendu, pose une main ferme sur son épaule : « Ici, tu te lâches, tu joues, tu profites. »
La soirée démarre par un tour des lieux : bar lounge, salle de danse avec des couples qui s’effleurent déjà, puis l’espace chaud où les alcôves n’attendent que des corps enfiévrés. Le cœur de Julien bat à toute vitesse.
Ils s’installent d’abord dans un canapé, un verre à la main. Clara rit, se penche vers lui, glisse sa main sur sa cuisse. Le jean ne cache pas son excitation grandissante. Elle déboutonne doucement, libère son sexe déjà dur. Ses yeux brillent, elle le prend aussitôt en bouche, sous le regard de Maxime qui sourit et caresse les seins de sa femme par-dessus sa robe noire moulante.
Autour d’eux, les autres couples regardent, certains se joignent. Une femme brune approche, embrasse Clara, puis s’agenouille pour partager la queue de Julien. Deux bouches chaudes qui se relaient, qui se lèchent entre elles avant de l’engloutir. Julien gémit, perd presque pied.
Maxime, lui, a déjà dénudé sa femme : Clara, seins ronds et fermes, s’offre sur le canapé. Julien n’y résiste pas : il la pénètre, ses hanches claquant contre elle, pendant que Maxime guide sa tête pour qu’elle continue de sucer d’autres hommes qui se sont rapprochés. La pièce résonne de gémissements, de claquements de chair, de soupirs partagés.
Le temps devient flou. Julien prend Clara en levrette, tirant sur ses cheveux, tandis que Maxime, derrière, caresse ses fesses pour mieux l’ouvrir. Les corps se mélangent : une autre femme monte sur le visage de Julien pour se faire lécher, Clara jouit bruyamment, Maxime finit par se glisser à côté, l’embrasse avec une intensité animale.
Vers trois heures du matin, le club s’est transformé en véritable orgie. Alcôves occupées, corps moites collés, rires étouffés. Julien, trempé de sueur, s’écroule à côté de Clara et Maxime. Elle lui murmure à l’oreille : « À Besançon, on sait recevoir… Tu reviens quand tu veux. »
Il sourit, encore haletant. Il venait de plonger dans le libertinage bisontin… et il savait qu’il n’en sortirait plus jamais.