Des parties de console qui finissent au lit à Besançon
Un samedi soir pluvieux à Besançon, Nico, étudiant en informatique, avait organisé une LAN improvisée dans son appart près de Battant. Quelques potes avaient ramené leurs PC portables, et parmi eux, Léna, une brune au regard piquant croisée plusieurs fois sur Discord. Elle portait un sweat trop large aux couleurs d’un jeu indé, des cheveux attachés à la va-vite, et ce mélange geek et sexy qui faisait craquer Nico depuis des semaines.
Ils passent des heures à enchaîner des parties de League et de Counter, bière à la main, cris, rires et insultes bon enfant. Vers deux heures du matin, les potes repartent en Uber, laissant l’appart dans un calme électrique. Restent Léna et Nico, assis côte à côte, encore hypnotisés par la lumière des écrans.
— « On fait une dernière game en 1v1 ? » lance Léna avec un sourire en coin.
— « Pari ? » répond Nico, déjà excité.
— « Le perdant fait tout ce que veut le gagnant. »
Le duel est intense, mais Léna prend l’avantage et finit par lui éclater la tête virtuellement. Elle se penche vers lui, un sourire carnassier aux lèvres : « Alors, prêt à obéir ? ». Sans attendre, elle grimpe sur ses genoux, l’embrasse avec une faim brutale. Ses mains glissent sous son t-shirt, ses ongles griffent sa peau.
Leurs corps s’échauffent vite, les manettes tombent par terre. Léna déboutonne son pantalon, sort sa queue déjà raide et la branle lentement, tout en plantant ses yeux dans les siens. Puis elle glisse à genoux entre ses cuisses, branche son câble de casque sur le bureau comme pour se donner une excuse, et avale sa bite profondément.
Nico étouffe un grognement. Sa gorge se serre sur lui, elle alterne succion et branlette, l’engloutit presque jusqu’à suffoquer. La lumière bleutée des écrans éclaire son visage, ses lèvres brillantes, ses joues qui se creusent. Il la tient par les cheveux, rythme ses va-et-vient. Léna gémit avec la queue au fond de la bouche, la salive dégoulinant sur son menton.
— « Putain, tu suces comme une déesse du jeu… » souffle Nico, le souffle coupé.
Elle s’arrête juste pour sourire, langue sortie, et recommence plus vite, plus sale. La pression monte, il sent son corps vibrer, ses couilles se resserrer. Nico gémit fort, la queue pulsant entre ses lèvres. Au dernier instant, il la retire de force, serre sa main sur son sexe et gicle en jets épais sur son visage. Sperme chaud qui coule sur ses joues, ses lèvres, jusqu’à son menton.
Léna ferme les yeux, tend la langue, s’en lèche un filet avec un sourire triomphant. Elle relève la tête, visage barbouillé, et souffle d’un ton provocateur : « Game over pour toi, mais j’ai gagné ma récompense. »
Ils rient, essoufflés, encore collés l’un à l’autre, les écrans clignotant toujours en arrière-plan. À Besançon, même les parties de jeux vidéo se terminent souvent en orgasme, et parfois, littéralement, sur le visage d’une partenaire.
