À Besançon, les étudiants décompressent sous la couette

Soirées à La Bouloie, apéros à Battant, concerts à La Rodia… Ici, les révisions finissent souvent en ébats torrides et les plans cul restent discrets mais intenses.

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Lieux chauds :
Université de Franche-Comté – Campus de la BouloieENSMM (école d’ingénieurs) – Chemin de l’ÉpitapheRésidences CROUS de La Bouloie et du centre-villePlace Pasteur et quartier BattantQuai Vauban et Parc Micaud
Ce qu'on aime faire :
Soirées étudiantes qui finissent au litRévisions à la B.U. qui dérapent en plans sexePlans cul dans les résidences CROUSQuickies après un concert à La RodiaRencontres chaudes dans les bars de la rue Bersot

Nuits étudiantes brûlantes sur les quais du Doubs

Cité U Canot, un soir d’octobre, couloir désert, murs jaunis par les années. Elle revenait d’un cours de socio à la fac de Lettres de la Bouloie, jean taille haute, sweat large dissimulant mal sa poitrine tendue. Lui, étudiant en STAPS, short de sport encore humide de transpiration, la suivit discrètement jusqu’à sa chambre étroite qui donnait sur la rue Mégevand.

À peine la porte fermée, elle s’adossa, haletante. Il la saisit par la nuque et l’embrassa avec brutalité, langue profonde, salive échangée comme un défi. Elle se cambra contre lui, frottant son bassin déjà humide contre son short tendu. Ses mains glissèrent sous son sweat, saisissant fermement ses seins nus, pinçant ses tétons jusqu’à la douleur.

Il l’attrapa par la taille et la souleva, la jetant littéralement sur le petit bureau encombré de cours et de canettes vides. Les feuilles volèrent tandis qu’il arrachait son jean, sa culotte déchirée dans la précipitation. Elle ouvrit grand les cuisses, et il la pénétra violemment, chaque coup de reins faisant grincer le meuble contre le mur.

Elle le griffait, lui mordait l’épaule, gémissait trop fort pour un couloir aussi silencieux. Alors, il glissa ses doigts dans sa bouche, l’obligeant à les sucer pour étouffer ses cris, tout en continuant à la pilonner sans relâche. La sueur de son torse ruisselait sur sa peau à elle, l’odeur de sexe emplissait la petite chambre.

Elle jouit la première, convulsant, les yeux révulsés, ses ongles s’enfonçant dans ses trapèzes. Lui, tenant encore ses cheveux pour contrôler ses mouvements, finit par jouir en elle, le corps tremblant, le bureau trempé de leurs fluides.

Quand elle reprit son souffle, ils éclatèrent de rire en voyant les polycopiés maculés et les stylos roulés à terre. Mais dans la chambre étudiante de Besançon, le vrai cours de la soirée venait d’être donné.

Dans les résidences CROUS de Besançon, ça chauffe vite

Un dimanche après-midi, le campus de la Bouloie à Besançon était désert. Les salles de cours, habituellement pleines d’étudiants stressés, vibraient d’un silence étrange. Julien, étudiant en droit, avait donné rendez-vous à Marion, rencontrée quelques jours plus tôt à une soirée étudiante rue Bersot. Prétexte officiel : réviser pour les partiels. Prétexte officieux : assouvir une tension sexuelle qui les rongeait depuis qu’ils s’étaient embrassés à moitié bourrés dans le fumoir d’un bar.

Ils s’installent dans une salle de cours vide, volets à moitié tirés, lumière douce. Les cahiers et codes de droit civil restent quelques minutes sur la table, mais leurs yeux s’attardent trop longtemps l’un sur l’autre. Julien s’approche, la main posée sur la cuisse de Marion. Elle rit doucement, feignant de repousser son cahier, puis écarte les jambes juste assez pour l’inviter.

Le baiser est brutal, chargé. Les langues se cherchent, s’écrasent. Les chaises grincent quand Marion grimpe à califourchon sur Julien. Elle sent déjà la bosse dure sous son jean. Elle frotte contre lui, ses hanches en mouvement lent, volontaire, pendant que ses mains lui déboutonnent la chemise. Ses tétons dressés pointent à travers son soutien-gorge noir, et Julien les mordille aussitôt, la faisant gémir dans la salle vide.

Elle le pousse ensuite contre le bureau du prof, le fait s’asseoir et glisse à genoux. Ses lèvres englobent sa queue bandée qu’elle branle et suce goulûment, l’odeur de foutre et de sueur emplissant la pièce. Ses mains serrent ses couilles, sa langue lèche jusqu’au bout, avale profond. Julien gémit, la tête renversée, la main serrant ses cheveux.

Il ne tient pas, la relève d’un geste ferme, la retourne sur le bureau où d’habitude trônent polycopiés et feutres Velleda. Sa culotte glisse à ses chevilles. En un coup sec, il la pénètre. Marion crie, ses mains agrippent les bords du bois. Les coups de reins s’enchaînent, secs, puissants, le bruit de leurs corps résonne dans la salle comme un écho interdit.

Julien la prend fort, profond, ses mains serrant sa taille, puis son cou, pendant qu’elle gémit, supplie plus. Elle jouit la première, le corps secoué, la chatte qui se contracte autour de lui. Il accélère encore, la retourne sur le dos, écarte ses jambes et la pilonne jusqu’à gicler violemment sur son ventre et ses seins nus, essoufflé, haletant.

Le silence retombe d’un coup, seulement troublé par le froissement de leurs vêtements remis à la hâte. Marion ramasse son cahier et rit : « J’aurai jamais vu cette salle pareil… » Julien ajoute en souriant : « Dimanche prochain, on révise dans l’amphi. »

À Besançon, même les salles de cours se transforment en terrains de jeux sexuels quand les étudiants décident que les révisions ne suffisent plus.

Besançon, terrain de jeu des étudiants chauds

Entre La Bouloie, la B.U. et les bars de Battant, les étudiants majeurs de Besançon adorent flirter, tester, baiser et recommencer. Rejoins une communauté torride, safe et consentante.

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