Nuit étudiante qui dégénère rue de Solférino
Un vendredi soir à Lille, la Grand-Place débordait d’étudiants qui buvaient des bières en terrasse. Mais Clara, 22 ans, étudiante en droit à l’université de Lille 2, n’était pas restée longtemps au Café Oz avec ses potes de promo. Son envie la brûlait trop : ce soir, elle voulait du sexe sans filtre, un plan étudiant comme on en trouve dans la capitale du Nord.
Elle avait matché plus tôt dans la semaine avec Hugo, étudiant en STAPS, 23 ans, corps sculpté par les entraînements. Ils avaient convenu de se retrouver dans une petite rue près de la rue de Solférino, fief des soirées étudiantes. Quand il la rejoignit, jean serré, veste de sport ouverte sur un torse musclé, Clara sut qu’elle n’allait pas attendre longtemps.
Ils s’embrassèrent sans préambule, collés contre le mur tagué d’une ruelle derrière le Macumba Club. Sa langue fouilla la sienne, ses mains descendirent directement sous sa jupe. Elle ne portait pas de culotte.
— Putain t’es chaude, murmura Hugo, déjà dur sous son jean.
Ils traversèrent en courant la Place de la République, et se glissèrent dans le parc Jean-Baptiste Lebas, désert à cette heure. À peine à l’ombre des arbres, Hugo la plaqua contre un tronc, la jupe relevée, doigtant sa chatte trempée avec voracité. Clara gémissait fort, craignant d’être entendue par un passant.
Il ouvrit sa braguette, sortit sa queue énorme et la glissa d’un coup sec dans son sexe déjà détendu. Clara cria, les mains agrippées à l’écorce. Hugo la pilonnait sans retenue, ses couilles claquant contre ses fesses, sa bouche collée dans son cou.
— Plus fort, baise-moi ! haleta-t-elle.
Leurs corps cognaient contre le tronc, rythme brutal, jusqu’à ce qu’elle jouisse, jambes tremblantes, mouillant son jean déjà trempé de sueur.
Essoufflés, ils filèrent jusqu’à la résidence universitaire de Hugo, près de Porte de Douai. Dans sa chambre étudiante étroite, à peine dix mètres carrés, ils se jetèrent sur le lit une place, incapable d’attendre. Les posters de musculation et de soirées étudiantes vibraient au rythme de leurs mouvements.
Clara s’agenouilla, engloutissant sa bite en entier, salive dégoulinant sur son menton. Elle branlait sa base d’une main, aspirait sa queue goulûment, gorge profonde, jusqu’à ce qu’il gémit, la tête renversée. Il l’attrapa par les cheveux, la força à garder son rythme.
Puis il la mit à quatre pattes sur son petit bureau d’étudiant, repoussa ses bouquins de droit. Ses mains agrippèrent ses hanches, et il la pénétra violemment. Clara cria, sentant ses seins ballotter, son clito frotter contre le bois.
Le bureau grinçait, leurs corps cognaient, et Hugo se déchaînait, la baisant comme une salope étudiante offerte. Clara jouit encore, ses ongles griffant le bois, avant qu’il ne se retire et gicle sur ses fesses, son dos, éclaboussant ses reins de sperme chaud.
Allongés sur le petit lit, encore poisseux de sueur et de foutre, ils rirent, haletants.
— Bienvenue à Lille, dit Hugo en lui claquant la fesse. Ici, les étudiants ne se contentent pas de réviser.
Clara sourit, encore tremblante. Elle savait déjà qu’elle reviendrait. Entre deux cours de droit, elle avait trouvé son nouveau terrain de jeu : le corps des étudiants lillois.