À Nantes, les étudiants se lâchent après les cours

Soirées arrosées à Talensac, baisers volés sur l’île de Versailles, plans cul improvisés dans les résidences près de la fac… La vie étudiante nantaise est aussi chaude que festive.

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Lieux chauds :
Université de Nantes (Campus Tertre)Quartier GraslinÎle de VersaillesHangar à BananesRésidences étudiantes de l’île de Nantes
Ce qu'on aime faire :
Soirées étudiantes qui finissent en sexe sauvagePlans cul rapides dans les résidences universitairesQuickies au bord de l’ErdreRévisions dérapant en plans sexeFlirts torrides dans les bars nantais

Des révisions qui finissent au lit à Nantes

C’était un samedi soir à Nantes, en plein cœur du quartier Bouffay. Les rues étaient blindées d’étudiants, tout le monde buvait des bières dans les bars ou sur les pavés. J’avais prévu de rejoindre deux potes de fac, Camille et Maxime, pour une soirée sans prise de tête. On se connaissait bien, on traînait souvent ensemble, mais ce soir-là, l’ambiance a tourné différemment.

On s’est retrouvés au Hangar à Bananes, dans un bar qui crachait de l’électro. On a enchaîné les pintes, les shots, et au fil de la soirée, les regards devenaient plus lourds, les contacts plus insistants. Camille, avec son top noir qui collait à sa peau, se frottait autant à moi qu’à Maxime en dansant. Elle riait, mais ses yeux disaient autre chose : elle avait envie de plus.

Vers deux heures du matin, elle nous a attrapés par la main, sans un mot, et nous a embarqués hors du bar. On a traversé l’île de Nantes, direction sa résidence étudiante. Dans l’ascenseur, l’atmosphère a explosé : elle a embrassé Maxime à pleine bouche, puis s’est tournée vers moi pour me bouffer les lèvres, ses mains glissant déjà sous nos jeans.

À peine entrés dans sa chambre, elle nous a poussés sur son lit, un sourire vicieux aux lèvres. « Ce soir, j’ai envie de vous deux. » Sa voix était ferme, excitée. Elle s’est déshabillée lentement, laissant tomber son top et son soutien-gorge, ses seins nus tendus vers nous. J’ai plongé ma tête contre sa poitrine pendant que Maxime la caressait partout, et elle gémissait déjà, enfiévrée.

Très vite, elle s’est mise à genoux entre nous, alternant entre nos bites, les suçant l’une après l’autre, puis les prenant toutes les deux dans ses mains, salive et jouissance mélangées. La voir ainsi, partagée entre nous deux, c’était insoutenable de désir. Je la tenais par les cheveux pendant qu’elle m’avalait profond, Maxime caressait ses fesses et la doigtait en même temps.

Puis on est passés au lit. Je me suis installé derrière elle, en levrette, pendant qu’elle chevauchait Maxime allongé sur le dos. Elle gémissait à chaque va-et-vient, serrée entre nos deux corps, ses cris étouffés contre son torse. Ses cheveux collaient de sueur, son dos arquait sous mes coups de reins. On changeait de positions sans réfléchir, guidés par la chaleur du moment : à trois, chaque sensation était décuplée.

À un moment, elle a pris le contrôle : elle s’est mise à califourchon sur moi, pendant que Maxime se plaçait derrière pour lui offrir ses doigts et sa bouche en même temps. Elle criait nos prénoms, complètement hors d’elle, son corps secoué par des orgasmes à répétition. Nous, on se laissait emporter, incapables de résister à cette intensité.

Quand j’ai joui en elle, Maxime a explosé à son tour, éclaboussant son ventre. Elle s’est effondrée entre nous, tremblante, le sourire collé aux lèvres. On est restés allongés tous les trois, collés sur son petit lit d’étudiante, encore essoufflés. Camille a chuchoté : « C’est ça que j’attendais depuis des semaines. »

Cette nuit-là, on n’a pas dormi beaucoup. Et chaque fois que je repasse devant les résidences de l’île de Nantes, je revois cette scène : Camille à genoux, ses lèvres glissant de l’un à l’autre, et ce plan à trois sauvage qui a changé notre amitié pour toujours.

Envie d’un plan chaud entre étudiants nantais ?

C’était un jeudi soir, la fameuse soirée étudiante à Graslin où tout le monde se retrouve après les cours. Le bar était blindé, ça criait, ça rigolait, ça se pelotait déjà un peu partout. J’étais avec une bande de potes, et parmi eux il y avait Manon, une fille de ma promo. Petite, brune, avec un sourire d’ange mais des yeux qui trahissaient une vraie envie de conneries. Toute la soirée, elle me chauffait : sa main sur ma cuisse quand on s’asseyait, ses lèvres à l’oreille quand elle me parlait, son corps collé au mien sur la piste minuscule du bar.

À un moment, elle m’a lancé un regard brûlant et m’a glissé à l’oreille : « Suis-moi. » Sans hésiter, je l’ai suivie jusqu’aux toilettes du fond, étroites et taguées comme dans tous les bars du centre. Elle a verrouillé la porte, s’est collée contre moi et m’a embrassé comme si elle m’attendait depuis des semaines. Sa main a descendu directement mon jean, elle a sorti ma bite et, sans un mot, elle s’est agenouillée sur le carrelage froid.

La scène était irréelle : la musique qui vibrait de l’autre côté de la porte, les cris et les rires étouffés dans le couloir, et Manon, à genoux, ma queue entière dans sa bouche. Elle suçait comme une affamée, profonde, rapide, la salive coulant le long de mon sexe. Ses yeux fixés sur moi me rendaient dingue. Je lui caressais les cheveux, je guidais ses mouvements, et chaque fois qu’elle avalait jusqu’à la garde, je me retenais pour ne pas jouir trop vite.

Je l’ai stoppée, je l’ai relevée, et je l’ai plaquée contre le mur. Je l’ai retournée, soulevé sa jupe, baissé sa culotte d’un coup sec. Elle était trempée. J’ai glissé deux doigts en elle, juste le temps de l’entendre gémir, puis je l’ai pénétrée d’un coup brutal. Ses mains agrippaient le lavabo, ses fesses claquaient contre mes hanches, et elle étouffait ses cris pour ne pas attirer l’attention. Le mélange de peur d’être surpris et d’excitation pure me faisait perdre la tête.

On a baisé vite, fort, comme si on n’avait que trois minutes devant nous. J’alternais entre la prendre en levrette et la tirer par les cheveux pour l’embrasser à pleine bouche. Ses gémissements se mélangeaient au bruit des basses dehors. Quand je l’ai sentie jouir, ses jambes ont tremblé, et moi je n’ai plus tenu : je me suis vidé en elle, explosant de plaisir, le corps collé au sien.

On s’est rhabillés à la va-vite, riant nerveusement. En sortant, personne ne nous a vraiment captés, mais je voyais bien les regards curieux. Manon m’a lancé un dernier sourire complice avant de retourner vers le groupe, comme si de rien n’était.

Depuis, chaque fois que je repasse dans un bar étudiant de Graslin, j’ai ce flash : Manon, agenouillée sur le carrelage des chiottes, ma bite au fond de sa gorge, et cette baise sauvage contre le mur, le cœur battant de peur et de plaisir.

Dans les résidences de Nantes, ça chauffe vite

C’était un samedi soir dans une coloc du campus Tertre, à Nantes. Une bande d’étudiants avait organisé une soirée « tranquille »… sauf qu’à Nantes, « tranquille » veut rarement dire sobre. L’appart était rempli : musique forte, fumée de clopes, bouteilles qui s’empilaient sur la table. L’ambiance chauffait vite, et je voyais déjà des couples s’embrasser sur le canapé, des mains qui traînaient partout.

Je connaissais un peu tout le monde, mais ce soir-là, c’est Anaïs, une rousse au tempérament explosif, qui m’a accroché direct. Elle m’a lancé : « T’es trop sage, viens boire avec nous dans la chambre. » J’ai suivi. Dans la chambre, il y avait déjà Max et Lola, allongés sur le lit, en train de s’embrasser. Anaïs a claqué la porte, a sauté sur le lit et s’est mise à embrasser Lola comme si c’était naturel. J’étais scotché. Max, lui, rigolait déjà en baissant son pantalon.

Anaïs s’est tournée vers moi, sourire aux lèvres : « Tu vas pas juste regarder, hein ? » Elle m’a tiré contre elle, m’a embrassé à pleine bouche, ses mains glissant directement dans mon jean. Pendant ce temps, Lola suçait Max, gémissant déjà avec la bouche pleine. Le petit lit d’étudiant grinçait, et la soirée avait basculé en partouze sans qu’on s’en rende compte.

Très vite, on était tous nus. Anaïs me chevauchait, ses cheveux roux tombant sur son visage, pendant que Lola s’agenouillait à côté de moi pour me lécher les couilles, excitée par la scène. Max, lui, baisait Lola par derrière, la tenant par les hanches avec un rythme brutal. La chambre résonnait de gémissements, de rires nerveux, de cris étouffés.

À un moment, Anaïs a glissé de ma bite pour aller sucer Lola, ses lèvres se mêlant à celles de Max sur son sexe trempé. Elle me regardait en le faisant, ses yeux brillants de vice. Je n’ai pas résisté, je me suis glissé derrière elle et je l’ai prise en levrette, mes coups de reins la faisant gémir la bouche encore collée contre la chatte de Lola. C’était animal, sans aucune retenue.

On a tourné encore et encore, échangeant les rôles, se mélangeant dans toutes les positions possibles. Les draps étaient trempés, la chaleur étouffante, nos corps collés par la sueur. À trois sur Lola, elle n’en pouvait plus, son corps secoué par des orgasmes successifs, ses cris couverts par la musique de la soirée dans le salon.

Je me souviens encore du moment où on a fini presque en même temps : Max jouissant sur le ventre de Lola, moi me vidant profondément dans Anaïs, et les filles qui riaient, haletantes, essorées mais encore excitées. On est restés allongés un moment, nus, à reprendre nos esprits, avant de se rhabiller en catastrophe quand quelqu’un a frappé à la porte pour demander du feu.

En ressortant dans le salon, les autres avaient deviné. Les regards complices, les sourires en coin… Personne n’a posé de question, mais tout le monde savait qu’à Nantes, dans les colocs étudiantes, une « soirée tranquille » peut vite devenir une partouze inoubliable.

À Nantes, les étudiants passent de la fac aux draps sans détour

C’était un jeudi soir après une soirée sur l’Île de Nantes. On sortait d’un bar du Hangar à Bananes, encore bourrés, encore électrisés par la musique. Avec moi, il y avait Juliette, une pote de fac en licence de socio. On avait toujours eu ce jeu de séduction un peu caché, mais ce soir-là, ça ne pouvait plus tenir.

Au lieu de rentrer direct, on a marché jusqu’au bord de l’Erdre. La ville était calme, presque déserte, juste le bruit de l’eau et le vent léger. Juliette s’est assise sur un muret, sa robe courte remontant un peu trop haut. Elle me fixait, ses jambes croisées et ce sourire vicieux qui voulait dire : « Vas-y, prends-moi. »

Je me suis approché, je l’ai embrassée avec rage. Mes mains ont glissé sous sa robe, découvrant qu’elle ne portait pas de culotte. Elle a gémi doucement quand mes doigts l’ont caressée, trempée déjà. « Ici ? T’es sérieux ? » a-t-elle soufflé, mais son corps disait tout l’inverse.

Je n’ai pas répondu, je l’ai mise à genoux sur le béton froid, et elle a pris ma bite en bouche comme si elle n’attendait que ça. Sa langue tournait autour de mon gland, puis elle m’avalait profond, ses lèvres serrées, sa salive dégoulinant sur mon sexe. Le contraste entre le calme de la nuit et ce bruit humide, obscène, me rendait fou. J’avais les mains dans ses cheveux, je guidais sa tête, je me retenais à peine de jouir trop vite.

Je l’ai relevée, je l’ai retournée contre le muret. Sa robe relevée, son cul bien offert, je l’ai pénétrée d’un coup sec. Elle a poussé un cri étouffé, ses mains agrippées à la pierre. Mes coups de reins résonnaient dans la nuit, le clapotis de l’eau se mélangeant à ses gémissements. Elle me suppliait d’aller plus fort, plus vite, sa voix brisée par le plaisir.

Je sentais ses jambes trembler, son corps se cambrer, chaque va-et-vient la poussait vers l’orgasme. Je me suis penché contre son oreille : « Tu jouis là, dehors, comme une salope… » Elle a explosé aussitôt, son corps secoué de spasmes, son jus coulant sur mes cuisses. Ce spectacle m’a achevé. Je me suis vidé en elle, profond, en me mordant la lèvre pour ne pas crier.

On est restés collés un moment, haletants, avant de se rhabiller vite fait. Juliette riait encore, nerveuse, les joues rouges. On a marché main dans la main, comme si rien ne s’était passé, mais le goût de cette baise sauvage au bord de l’Erdre me brûlait encore la peau.

Depuis ce soir-là, chaque fois que je longe les quais, j’ai cette image en tête : Juliette, à genoux dans la nuit, sa bouche chaude autour de moi, et ce quickie brutal qui restera gravé comme l’une des meilleures baisses de ma vie.

Nantes, la ville étudiante qui ne dort jamais

Des facs aux bars de Graslin, des résidences de l’île de Nantes aux soirées du Hangar à Bananes : à Nantes, les étudiants adorent tester, flirter et baiser sans tabou.

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