Dans l’Hérault, les étudiants majeurs montent en température

Entre soirées à Antigone, verres sur les Rives du Lez, BUs qui dérapent et colocs surchauffées près de l’Écusson, Montpellier fait matcher vite… et fort.

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Lieux chauds :
Université de Montpellier – Campus Triolet & Faculté de MédecineUniversité Paul-Valéry Montpellier 3 – Route de MendeQuartier Richter & Rives du LezPlace de la Comédie & rues de l’ÉcussonPlages de Palavas-les-Flots et Carnon
Ce qu'on aime faire :
Soirées étudiantes à Antigone/Comédie qui finissent au litRévisions à la BU (Richter, Triolet, Lettres) qui tournent plan culQuickies en coloc près de l’Écusson ou du TrioletBains de minuit à Palavas après les assos et soirées BDERencontres chaudes après un match au complexe Yves-du-Manoir

À Montpellier, nos révisions à la BU Richter ont dérapé… fort

Pauline et moi, on a transformé une soirée BDE à Antigone en marathon sexuel

Je vais pas vous mentir, j’étais parti pour une soirée classique, bière tiède, musique trop forte et drague maladroite. Mais ce soir-là, à Montpellier, tout a dérapé — et franchement, je regrette pas une seconde.

C’était un jeudi soir, soirée BDE organisée dans un bar du quartier Antigone. Vous voyez le genre : des affiches fluo collées partout à la fac, promesse de shooters pas chers et DJ qui balance de la house douteuse. J’y suis allé avec deux potes de mon école, histoire de faire acte de présence. Je pensais boire quelques verres, danser un peu et rentrer.

Mais dès qu’on est arrivés, l’ambiance m’a frappé. La salle était bondée, la sueur se mélangeait aux odeurs de vodka bas de gamme, et tout le monde semblait prêt à se rouler des pelles avec le premier venu. Montpellier, quoi : ville étudiante chaude comme jamais, où la moindre soirée peut tourner en plan cul géant.

Et là, je l’ai vue. Pauline. Une fille de ma promo, mais avec qui j’avais jamais vraiment parlé. Plutôt discrète en cours, mais là… wow. Une robe noire moulante qui collait parfaitement à ses formes, un rouge à lèvres un peu trop foncé qui lui donnait un air provocant. Elle riait fort avec ses copines, verre de rosé à la main. Et puis nos regards se sont croisés. Pas juste un coup d’œil, non : un vrai contact. Le genre qui dit “toi et moi, on va finir ensemble ce soir.”

Je me suis approché au comptoir. Impossible de parler normalement avec le boucan du DJ, alors j’ai dû me coller à elle pour lui chuchoter un truc à l’oreille. Je me rappelle même plus ce que j’ai dit, un truc con, sûrement. Mais j’ai senti sa peau, chaude, et son parfum m’a pris à la gorge. Elle a souri et m’a lancé :
— “Je déteste cette musique, mais toi tu me fais marrer.”

Ça m’a chauffé direct. On a commencé à danser. Enfin, “danser” c’est vite dit. C’était plus des frottements que des pas de danse. Ses hanches appuyées contre mon bassin, son cul parfait qui bougeait sur ma bite déjà dure. Elle le sentait bien, et loin de s’éloigner, elle en rajoutait. Sa main a glissé derrière moi, juste assez pour frôler ma ceinture. Je vous jure, j’avais du mal à rester concentré.

Au bout de quelques morceaux, j’ai soufflé :
— “Tu veux pas qu’on sorte un peu, qu’on respire ?”
Elle m’a planté ses yeux noisette dans les miens, et m’a répondu du tac au tac :
— “Non, je veux qu’on bouge. Mais pas pour respirer.”

Autant vous dire que je bandais comme jamais. On a pris chacun un vélo en libre-service devant Antigone. Elle devant, moi derrière, en train de mater ses cuisses bronzées sous la robe qui remontait avec chaque coup de pédale. C’était une torture excitante. J’avais qu’une hâte : arriver chez moi pour la déshabiller et la baiser comme un fou.

Chez moi, quartier des Aubes, à peine la porte fermée, ça a explosé. Pas de bisous timides ni de phase d’observation. Non, direct les mains partout. Je lui ai arraché sa robe, balancée au sol. En dessous, lingerie noire en dentelle, qui mettait parfaitement en valeur sa poitrine et ses fesses. J’ai glissé ma main entre ses cuisses, et déjà, elle était trempée.
— “Vas-y, prends-moi maintenant.” qu’elle m’a soufflé en me mordillant la lèvre.

J’ai pas attendu. Je l’ai soulevée, plaquée contre la porte, et je l’ai pénétrée d’un coup sec. Son cri a résonné dans tout l’appart. Ses jambes autour de ma taille, ses ongles plantés dans mon dos, elle me suppliait d’aller plus fort, plus vite. Elle hurlait sans retenue, comme si elle voulait que tout l’immeuble sache à quel point elle jouissait.

On a enchaîné partout. Canapé, cuisine, douche… C’était un vrai marathon. Dans la cuisine, elle s’est penchée sur le plan de travail, et je l’ai prise par derrière, les mains agrippées à ses hanches. Le bruit de ma peau claquant contre son cul résonnait avec ses gémissements. Elle me criait :
— “Encore, putain, plus fort !”

Dans la douche, l’eau dégoulinait sur son corps, rendant tout encore plus glissant. Je l’ai prise contre le carrelage, elle me suçait les lèvres entre deux baisers, et elle se frottait frénétiquement contre moi. Elle a joui là, son corps entier secoué de spasmes, ses ongles glissant sur mes épaules mouillées.

Puis on a fini dans mon lit. Là, elle a pris le contrôle. Elle est montée sur moi, nue, en amazone. Son regard planté dans le mien, ses seins qui rebondissaient à chaque mouvement. Elle me chevauchait comme si elle voulait m’achever. Je la tenais par la taille, hypnotisé par la façon dont elle me prenait jusqu’au bout. Je me suis senti partir, et j’ai joui avec une puissance que j’avais rarement ressentie.

On a recommencé encore, plusieurs fois. À un moment, elle s’est allongée sur le ventre, les fesses en l’air, et m’a dit d’une voix grave :
— “Baise-moi comme une salope.”
Je l’ai prise sans douceur, en lui tenant les cheveux, et elle criait de plaisir, le visage enfoui dans l’oreiller. Je sentais ses contractions autour de ma bite, elle venait en même temps que moi. C’était brutal, animal, mais tellement bon.

Quand enfin on s’est écroulés, trempés de sueur, épuisés, il était genre 5h du matin. On avait plus rien à donner. Elle s’est collée contre moi, le corps encore chaud, et dans un souffle, elle m’a dit :
— “Putain, j’avais dit que je détestais cette musique… mais toi, tu viens de me donner la meilleure soirée de l’année.”

On s’est endormis comme ça, encore nus, encore moites, sans même remettre les draps.

Le lendemain, on est sortis ensemble prendre un café vers la Comédie. Elle avait ses lunettes de soleil, son petit sourire complice, et moi j’étais vidé mais heureux. Quand elle est montée dans le tram 1, direction Paul-Valéry, elle s’est retournée une dernière fois pour me lancer un regard de défi. Un regard qui voulait clairement dire : “À refaire.”

Et depuis ce soir-là, chaque fois que je passe devant ce bar d’Antigone, je peux pas m’empêcher de sourire. Parce que je sais qu’à Montpellier, une soirée BDE, ça peut vite se transformer en marathon sexuel.

Plan chaud entre étudiants majeurs de Paul-Valéry, tram 1 direction plaisir

“De l’appli au lit : ma rencontre avec Léna, l’introvertie qui m’a retourné à Montpellier”

Je me suis toujours considéré comme un mec assez introverti. Je parle pas beaucoup en soirée, je préfère rester avec deux-trois potes que me lancer dans des drags bourrées sur la Comédie. Alors quand j’ai installé une appli de rencontres l’année dernière, c’était plus par curiosité que par vraie motivation. Je pensais pas tomber sur quelqu’un qui allait autant bouleverser mes certitudes… et mon corps.

Le match improbable

J’ai matché avec Léna, étudiante en L3 lettres modernes à Paul-Valéry. Sa bio disait un truc bateau : “Je préfère les livres aux boîtes de nuit, mais je peux faire des exceptions.” Sa photo montrait une fille discrète, cheveux châtains un peu bouclés, un sourire timide. Pas la bombe qui exhibe son cul en bikini à Palavas, mais justement, ça me plaisait.

On a commencé à discuter doucement. Elle m’a avoué qu’elle détestait les applis mais qu’elle s’était inscrite après une rupture. Moi, j’ai raconté que je galérais à aborder les filles dans la vraie vie. Bref, deux timides en train d’essayer maladroitement de flirter derrière un écran.

Au bout de quelques jours, je lui ai proposé un café. Elle a accepté, mais j’ai senti dans ses messages qu’elle hésitait. Je comprenais : rencontrer un inconnu, c’est jamais simple, surtout quand on n’est pas à l’aise socialement.

Le rendez-vous

On s’est donné rendez-vous dans un petit café près de la place Sainte-Anne, dans l’Écusson. Un lieu tranquille, moins exposé que la Comédie. Quand je l’ai vue arriver, jean brut, pull beige ample, sac en bandoulière, j’ai tout de suite senti que je voulais plus qu’un simple café. Elle avait une beauté simple, sans artifices. Ses yeux noisette brillaient malgré sa gêne évidente.

On a parlé littérature, études, un peu de musique. Rien de fou, mais la conversation coulait doucement. À chaque fois que nos mains s’effleuraient en prenant nos tasses, un courant électrique me traversait. On se souriait timidement, comme deux ados.

Après une heure, je lui ai proposé de marcher un peu. On a traversé les petites rues pavées, on a fini dans un square derrière la fac de Lettres. C’est là, sur un banc, qu’elle a levé les yeux vers moi et m’a embrassé. Un baiser maladroit, hésitant, mais chargé d’une tension accumulée depuis des jours. Je me suis senti dur instantanément.

Chez moi, la coloc vide

J’ai pris mon courage à deux mains :
— “Tu veux… venir boire un verre chez moi ? J’habite vers le Triolet.”
Elle a rougi mais a hoché la tête.

En arrivant, j’ai eu de la chance : mes deux colocs étaient sortis. L’appart était à nous. On a à peine eu le temps d’enlever nos chaussures que je l’ai attirée contre moi. On s’est embrassés, cette fois avec plus d’assurance. Ses mains tremblaient un peu au début, mais rapidement, elles ont glissé sous mon t-shirt.

On s’est laissés tomber sur mon lit. Nos baisers devenaient plus urgents, nos corps se collaient. J’ai déboutonné son jean, lentement, en la regardant dans les yeux. Elle a mordillé sa lèvre, comme pour dire “vas-y, continue.”

Sous son jean, une petite culotte en coton gris, banale mais terriblement excitante sur elle. Je lui ai caressé la chatte par-dessus, et j’ai senti qu’elle était déjà trempée. Elle a gémi doucement, sa main agrippée à mon bras.

La timide qui explose

Je pensais qu’elle allait rester dans la réserve, mais putain, je me trompais. Dès que j’ai glissé deux doigts sous sa culotte et que j’ai touché sa chatte humide, elle a basculé. Ses gémissements sont devenus plus forts, son bassin se soulevait pour réclamer plus. Elle a tiré sur ma ceinture d’une façon qui ne laissait aucun doute.

Elle m’a branlé d’abord doucement, en me regardant, puis elle s’est mise à genoux. Là, elle m’a surpris : une introvertie peut-être, mais au lit… une vraie salope. Elle a pris ma bite en bouche, direct, sans timidité. Sa langue tournait autour du gland, elle m’avalait profondément, ses yeux levés vers moi. J’avais du mal à croire que c’était la même fille qui, une heure avant, osait à peine me regarder.

Je l’ai tirée vers moi, j’ai enlevé sa culotte d’un geste et je l’ai allongée sur le dos. J’ai commencé à la lécher. Sa chatte avait un goût délicieux, elle était trempée comme jamais. Ses cuisses se refermaient autour de ma tête, elle se tortillait en gémissant de plus en plus fort.
— “Oh putain… continue, s’il te plaît, arrête pas…”

Elle a joui sur ma langue, en criant mon prénom. Ses spasmes secouaient tout son corps.

Baise animale

Je pouvais plus attendre. J’ai mis une capote et je me suis enfoncé en elle d’un coup. Elle a crié, surprise par la puissance. Elle m’a griffé le dos, les yeux fermés, et a enroulé ses jambes autour de moi. J’ai commencé à la baiser, lentement au début, puis plus vite. Le bruit de ma peau claquant contre la sienne résonnait dans ma petite chambre étudiante.

— “Plus fort… baise-moi plus fort…” qu’elle me hurlait.

Je l’ai retournée, à quatre pattes. Sa timidité avait disparu : elle me tendait son cul, me suppliait de la prendre plus brutalement. Je la tenais par les hanches, je la pilonnais, et elle gémissait comme une folle.

À un moment, elle s’est redressée un peu, m’a pris la main et l’a posée sur sa gorge. Elle voulait que je la serre doucement pendant que je la baisais. Ça m’a rendu dingue. Elle vibrait sous moi, complètement lâchée.

L’extase

On a changé de position encore : elle sur moi en amazone, son cul rebondissant à chaque va-et-vient, ses seins magnifiques qui se balançaient devant mon visage. Elle criait sans retenue, ses cheveux collés de sueur. Elle s’est mise à aller de plus en plus vite, comme possédée. Je l’ai sentie jouir fort, sa chatte se contractant autour de ma bite. Ça m’a emporté. J’ai joui à mon tour, un orgasme violent qui m’a vidé complètement.

On s’est écroulés, trempés, essoufflés, le cœur battant à 100 à l’heure.

Après

On est restés allongés, nus, collés l’un contre l’autre. Elle avait encore ses joues rouges, son souffle court. Elle a ri doucement :
— “Tu sais, j’ai jamais fait ça avec quelqu’un que je connaissais à peine. Mais putain… je crois que j’en avais besoin.”

Je l’ai serrée contre moi, incapable de parler, juste heureux.

Le lendemain matin, on a pris un café ensemble à la BU Richter, comme si de rien n’était. Mais chaque fois que nos regards se croisaient, je revoyais son corps nu, ses cris, sa bouche sur ma bite. Et je savais que ce n’était que le début.

Parce qu’à Montpellier, même les plus introvertis cachent des envies brûlantes. Il suffit juste d’un match, et tout explose.

Comédie by night : deux étudiants et une nuit qui finit à Palavas

Quand j’ai matché une étudiante de Montpellier sur une appli et qu’on a baisé comme des animaux dans sa coloc vide

J’avais pas prévu que ma soirée de jeudi allait se terminer comme ça. À la base, je voulais juste boire un verre tranquille après les cours. Mais grâce à un match sur une appli, je me suis retrouvé à baiser une fille comme si on s’était attendus depuis des mois. Une vraie explosion sexuelle, brutale et jouissive, dans un appart de Port Marianne laissé vide par sa coloc.

Le match

Quelques jours avant, j’avais matché avec elle. Une étudiante en psycho à la fac de Richter, brune, cheveux mi-longs, regard franc. Son profil était simple, pas de phrases chelou, juste un sourire naturel. On a commencé à discuter, direct ça a accroché. Pas de bla-bla chiant, pas de “salut ça va” qui tourne en rond. On parlait de nos cours, de la ville, de nos envies de sortir.

Un jeudi, on s’est chauffés à se voir. J’étais en amphi le matin, j’ai passé l’aprem à la BU Richter, et en fin de journée, je l’ai retrouvée vers le Corum. On a pris une bière dans un bar pas loin. Rien d’extraordinaire, juste deux étudiants qui se rencontrent. Mais putain, la tension sexuelle… Dès qu’on s’est assis, j’ai su que ça allait déraper. Ses yeux qui me fixaient, ses lèvres humides quand elle buvait, son rire nerveux… J’avais envie de l’embrasser direct.

Le déclencheur

Après deux verres, elle m’a dit qu’elle devait passer vite fait à sa coloc à Port Marianne pour récupérer des affaires. Elle m’a proposé de l’accompagner. Évidemment, j’ai dit oui.

On est arrivés dans un appart étudiant classique, plutôt bien foutu. Ses colocs étaient sortis. Silence total, juste nous deux. Elle a posé ses affaires, m’a regardé et a soufflé :
— “Tu veux rester un peu ?”

J’ai même pas eu le temps de répondre. Elle s’est approchée et m’a embrassé. Un baiser direct, humide, plein de désir retenu. J’ai senti son corps se coller au mien, ses seins contre ma poitrine, ses mains déjà sous mon t-shirt.

Explosion

On a reculé jusqu’au salon. Elle m’a poussé sur le canapé, a grimpé sur moi et m’a embrassé comme si sa vie en dépendait. Nos langues s’entremêlaient, nos mains exploraient chaque centimètre. Je bandais déjà comme un fou. Elle l’a senti à travers mon jean, et ça l’a excité encore plus.

J’ai glissé mes mains sous son haut, caressé sa peau douce, son soutien-gorge fin. Elle a gémi, s’est cambrée, et en deux secondes, j’avais viré son haut. Ses seins magnifiques se sont offerts à moi. J’ai sucé ses tétons durs pendant qu’elle frottait sa chatte sur ma bite encore enfermée. Elle mouillait déjà à travers son jean.

On a plus attendu. Elle a déboutonné mon pantalon, a sorti ma queue et l’a branlée avec une avidité qui m’a surpris. Elle m’a regardé droit dans les yeux avant de la prendre en bouche. Bordel, quelle bouche. Elle me suçait profond, sans hésitation, bavant sur ma bite, avalant à fond. J’avais envie de la prendre direct, là, sur le canapé.

La baise partout

Je l’ai stoppée, l’ai allongée sur le canapé, et j’ai tiré sur son jean. Elle portait une petite culotte noire déjà trempée. J’ai passé mes doigts dessus, puis je l’ai écartée et j’ai plongé ma langue dans sa chatte. Elle a crié tout de suite, ses cuisses serrées autour de ma tête. J’aimais son goût, sa chaleur, ses gémissements incontrôlables.

Quand je me suis redressé, elle me suppliait déjà :
— “Vas-y, baise-moi maintenant.”

J’ai mis une capote et je l’ai pénétrée d’un coup sec. Elle a hurlé, son dos s’est arqué, ses ongles se sont plantés dans mon épaule. Je la baisais fort, sans attendre, le canapé grinçait sous nos mouvements. Elle criait mon prénom, se cambrait, me demandait encore plus.

Je l’ai retournée à quatre pattes. Sa chatte luisait, son cul parfait tendu devant moi. Je l’ai prise brutalement, claquant mes hanches contre ses fesses. Elle gémissait comme une folle, la tête enfoncée dans un coussin, sa voix étouffée mais encore plus excitante. Je lui tirais les cheveux, elle adorait ça.

On a changé de pièce. Sur la table basse, elle assise au bord, jambes écartées, moi debout en train de la pilonner. Sur le sol, elle allongée, moi entre ses cuisses en train de la prendre comme un animal. Chaque surface de la coloc devenait notre terrain de jeu.

Sans limites

Elle se révélait complètement insatiable. Sage en apparence, mais une vraie furie au lit. Elle me demandait de la prendre plus fort, de la serrer, de la baiser sans retenue. Je l’ai portée contre le mur, elle enroulait ses jambes autour de moi, sa chatte me dévorait.

Elle a joui plusieurs fois, trempée, son corps entier secoué. Moi, je me vidais en elle en rugissant, incapable de retenir la pression. Mais à chaque fois, après une courte pause, elle en voulait encore. On a enchaîné pendant des heures.

À un moment, elle m’a chevauché, nue, en amazone, me regardant avec un sourire pervers. Elle rebondissait sur ma bite, ses seins ballottaient, son cul claquait contre mes cuisses. Elle a joui violemment, en criant, son jus dégoulinant le long de mes couilles. Ça m’a achevé, j’ai joui à mon tour avec une intensité énorme.

Après

Quand enfin on s’est écroulés, trempés de sueur, le salon était sens dessus dessous : coussins par terre, table déplacée, fringues éparpillées. On respirait fort, incapables de parler. Elle s’est collée contre moi, nue, encore chaude, et a soufflé :
— “Je crois que je vais garder de bons souvenirs de cette coloc.”

On a ri comme des gosses. Mais dans ma tête, je savais qu’on venait de vivre un truc qu’on oublierait jamais : une baise sauvage, sans limites, où deux étudiants de Montpellier avaient lâché toutes leurs frustrations.

Coloc près du Triolet : on a baisé comme si on rendait un TD

“Deux étudiants se rencontrent sur une appli et finissent par baiser comme des bêtes derrière la Médiathèque Émile-Zola”

J’avais pas prévu ça en ouvrant l’appli. À la base, je scrollais machinalement entre deux révisions, juste pour tuer le temps. Et puis j’ai matché avec Sophie, étudiante en droit à Richter. Photo simple, jean taille haute, débardeur blanc, sourire franc. Pas la meuf qui pose à moitié à poil, mais un truc dans son regard me donnait envie de creuser.

Le match qui chauffe vite

On commence à discuter. Ça part sur les cours, puis les soirées étudiantes. Rapidement, elle me dit qu’elle aime sortir à Odysseum, boire des verres, mais qu’elle se lasse vite des mecs lourds en soirée. On rigole, on se chambre, et au bout de deux jours, elle lâche :
— “On se voit jeudi ? Une bière à Odysseum ?”

Je saute sur l’occasion.

La rencontre

Jeudi soir, fin août, encore chaud même à 21h. Je l’attends devant la patinoire d’Odysseum. Elle arrive, mini-jupe noire, petit top dos nu. Pas du tout coincée comme je l’imaginais sur ses photos. Elle a une démarche assurée, mais son sourire timide me rassure.

On s’installe en terrasse d’un bar. Deux bières, discussion qui coule toute seule. Elle a ce mélange parfait : à la fois cool, drôle, mais avec une énergie sexuelle qui transpire dans ses regards. Chaque fois qu’elle se penche pour me parler, son parfum me monte à la tête. Et ses cuisses bronzées croisées et décroisées me rendent dingue.

Au bout de trois verres, nos jambes se frôlent, nos mains se cherchent sous la table. Je bande déjà, et elle le sent. Ses yeux brillent, elle mouille sa lèvre inférieure avec sa langue, provocante.

Le tram, déclencheur interdit

On décide de bouger, de prendre le tram 1 direction gare Saint-Roch. On monte, c’est bondé comme d’hab en soirée. On se cale debout, collés l’un à l’autre. Et là, elle me regarde avec un sourire pervers et glisse sa main contre ma queue, à travers mon jean.

Je sursaute.
— “T’es sérieuse là ?”
— “Chut. On est serrés, personne verra.”

Je bande comme jamais. Sa main bouge discrètement, mais assez pour me faire perdre la tête. De mon côté, je glisse ma main sous sa jupe, effleure sa culotte trempée. Elle écarte légèrement les jambes, s’appuie contre moi et ferme les yeux. On se chauffe comme ça tout le trajet, à la limite de se faire choper. J’ai l’impression que mon cœur va exploser.

Derrière la Médiathèque Émile-Zola

On descend à la station Place de l’Europe. L’air est lourd, moite. On marche vite, comme si on savait exactement ce qu’on allait faire. Elle me tire par la main vers un coin derrière la Médiathèque Émile-Zola, à l’écart, un endroit sombre où personne passe à cette heure-là.

À peine arrivés, elle tombe à genoux, sort ma bite et la prend en bouche. Sans un mot, sans hésiter. Elle me suce goulûment, bave qui coule, gorge profonde. Ses mains agrippent mes couilles, ses yeux me fixent dans l’ombre. J’ai envie de jouir direct, mais je me retiens.

Je la relève, la plaque contre un mur. Je repousse sa culotte de côté et je la pénètre d’un coup sec. Elle crie, un cri étouffé par ma bouche qui l’embrasse pour pas alerter tout le quartier. Je la prends brutalement, ses ongles s’enfoncent dans mon dos, ses gémissements résonnent dans le silence de la nuit.

Elle enroule ses jambes autour de ma taille, je la soulève, je la baise contre le mur comme un animal. Chaque coup fait claquer sa chatte trempée contre ma bite. Elle me supplie :
— “Encore, putain, baise-moi plus fort !”

L’herbe, la sueur, le cul qui claque

On finit par s’écrouler sur l’herbe, derrière le bâtiment. Elle se met à quatre pattes, me montre son cul parfait et me dit :
— “Vas-y, défonce-moi.”

Je la prends par derrière, sans douceur. Ses gémissements sont de plus en plus forts, ses cheveux collent à sa nuque, son corps brille de sueur. Je la pilonne comme un fou, mes cuisses claquent contre ses fesses. Elle crie que ça fait trop mais qu’elle veut pas que j’arrête.

Je la tiens par les hanches, j’accélère encore. Ses jus dégoulinent le long de ses cuisses, éclaboussant mes couilles. Elle jouit en tremblant, en hurlant, sa chatte se contracte autour de ma bite. C’est sauvage, incontrôlé, on est deux bêtes en rut.

L’hôtel, dernier round

On est trempés, sales, essoufflés. On rit nerveusement, comme si on avait conscience d’avoir fait une dinguerie. Mais on en veut encore. Alors on marche jusqu’à un petit hôtel pas loin de la gare Saint-Roch. On prend une chambre vite fait.

Et là, plus de peur de se faire surprendre. On explose. Je la prends sur le lit, sur le bureau, sous la douche. Elle me suce encore et encore, avale tout sans hésiter. Je la baise en missionnaire, ses jambes plaquées contre sa poitrine, son cul soulevé par mes coups. Je jouis en elle, je me vide complètement, mais elle en redemande.

On recommence, plusieurs fois. Elle chevauche ma queue, son cul claque contre moi, ses seins ballottent devant mes yeux. Elle me dit des trucs crades, me demande de la serrer, de lui mettre des claques. Je deviens fou, je me perds dans son corps.

Le matin

Quand le soleil se lève, on est épuisés. Les draps sont trempés de sueur et de foutre, nos corps marqués de griffures et de morsures. On n’a plus de voix à force de gémir et de crier. Elle est allongée contre moi, nue, encore haletante.

— “C’était pas juste une rencontre sur une appli.” qu’elle murmure.
Et je peux qu’acquiescer. Parce qu’à Montpellier, parfois, une soirée banale se transforme en baise sauvage derrière une bibliothèque. Et ça, ça s’oublie pas.

Montpellier, capitale étudiante… et sexuelle

Des résidences CROUS aux bars de la Comédie, les étudiants majeurs de Montpellier adorent flirter, tester, baiser et recommencer. Ici, on se parle cash, on se respecte et on jouit de rencontres locales sans prise de tête.

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