À Montpellier, nos révisions à la BU Richter ont dérapé… fort
Pauline et moi, on a transformé une soirée BDE à Antigone en marathon sexuel
Je vais pas vous mentir, j’étais parti pour une soirée classique, bière tiède, musique trop forte et drague maladroite. Mais ce soir-là, à Montpellier, tout a dérapé — et franchement, je regrette pas une seconde.
C’était un jeudi soir, soirée BDE organisée dans un bar du quartier Antigone. Vous voyez le genre : des affiches fluo collées partout à la fac, promesse de shooters pas chers et DJ qui balance de la house douteuse. J’y suis allé avec deux potes de mon école, histoire de faire acte de présence. Je pensais boire quelques verres, danser un peu et rentrer.
Mais dès qu’on est arrivés, l’ambiance m’a frappé. La salle était bondée, la sueur se mélangeait aux odeurs de vodka bas de gamme, et tout le monde semblait prêt à se rouler des pelles avec le premier venu. Montpellier, quoi : ville étudiante chaude comme jamais, où la moindre soirée peut tourner en plan cul géant.
Et là, je l’ai vue. Pauline. Une fille de ma promo, mais avec qui j’avais jamais vraiment parlé. Plutôt discrète en cours, mais là… wow. Une robe noire moulante qui collait parfaitement à ses formes, un rouge à lèvres un peu trop foncé qui lui donnait un air provocant. Elle riait fort avec ses copines, verre de rosé à la main. Et puis nos regards se sont croisés. Pas juste un coup d’œil, non : un vrai contact. Le genre qui dit “toi et moi, on va finir ensemble ce soir.”
Je me suis approché au comptoir. Impossible de parler normalement avec le boucan du DJ, alors j’ai dû me coller à elle pour lui chuchoter un truc à l’oreille. Je me rappelle même plus ce que j’ai dit, un truc con, sûrement. Mais j’ai senti sa peau, chaude, et son parfum m’a pris à la gorge. Elle a souri et m’a lancé :
— “Je déteste cette musique, mais toi tu me fais marrer.”
Ça m’a chauffé direct. On a commencé à danser. Enfin, “danser” c’est vite dit. C’était plus des frottements que des pas de danse. Ses hanches appuyées contre mon bassin, son cul parfait qui bougeait sur ma bite déjà dure. Elle le sentait bien, et loin de s’éloigner, elle en rajoutait. Sa main a glissé derrière moi, juste assez pour frôler ma ceinture. Je vous jure, j’avais du mal à rester concentré.
Au bout de quelques morceaux, j’ai soufflé :
— “Tu veux pas qu’on sorte un peu, qu’on respire ?”
Elle m’a planté ses yeux noisette dans les miens, et m’a répondu du tac au tac :
— “Non, je veux qu’on bouge. Mais pas pour respirer.”
Autant vous dire que je bandais comme jamais. On a pris chacun un vélo en libre-service devant Antigone. Elle devant, moi derrière, en train de mater ses cuisses bronzées sous la robe qui remontait avec chaque coup de pédale. C’était une torture excitante. J’avais qu’une hâte : arriver chez moi pour la déshabiller et la baiser comme un fou.
Chez moi, quartier des Aubes, à peine la porte fermée, ça a explosé. Pas de bisous timides ni de phase d’observation. Non, direct les mains partout. Je lui ai arraché sa robe, balancée au sol. En dessous, lingerie noire en dentelle, qui mettait parfaitement en valeur sa poitrine et ses fesses. J’ai glissé ma main entre ses cuisses, et déjà, elle était trempée.
— “Vas-y, prends-moi maintenant.” qu’elle m’a soufflé en me mordillant la lèvre.
J’ai pas attendu. Je l’ai soulevée, plaquée contre la porte, et je l’ai pénétrée d’un coup sec. Son cri a résonné dans tout l’appart. Ses jambes autour de ma taille, ses ongles plantés dans mon dos, elle me suppliait d’aller plus fort, plus vite. Elle hurlait sans retenue, comme si elle voulait que tout l’immeuble sache à quel point elle jouissait.
On a enchaîné partout. Canapé, cuisine, douche… C’était un vrai marathon. Dans la cuisine, elle s’est penchée sur le plan de travail, et je l’ai prise par derrière, les mains agrippées à ses hanches. Le bruit de ma peau claquant contre son cul résonnait avec ses gémissements. Elle me criait :
— “Encore, putain, plus fort !”
Dans la douche, l’eau dégoulinait sur son corps, rendant tout encore plus glissant. Je l’ai prise contre le carrelage, elle me suçait les lèvres entre deux baisers, et elle se frottait frénétiquement contre moi. Elle a joui là, son corps entier secoué de spasmes, ses ongles glissant sur mes épaules mouillées.
Puis on a fini dans mon lit. Là, elle a pris le contrôle. Elle est montée sur moi, nue, en amazone. Son regard planté dans le mien, ses seins qui rebondissaient à chaque mouvement. Elle me chevauchait comme si elle voulait m’achever. Je la tenais par la taille, hypnotisé par la façon dont elle me prenait jusqu’au bout. Je me suis senti partir, et j’ai joui avec une puissance que j’avais rarement ressentie.
On a recommencé encore, plusieurs fois. À un moment, elle s’est allongée sur le ventre, les fesses en l’air, et m’a dit d’une voix grave :
— “Baise-moi comme une salope.”
Je l’ai prise sans douceur, en lui tenant les cheveux, et elle criait de plaisir, le visage enfoui dans l’oreiller. Je sentais ses contractions autour de ma bite, elle venait en même temps que moi. C’était brutal, animal, mais tellement bon.
Quand enfin on s’est écroulés, trempés de sueur, épuisés, il était genre 5h du matin. On avait plus rien à donner. Elle s’est collée contre moi, le corps encore chaud, et dans un souffle, elle m’a dit :
— “Putain, j’avais dit que je détestais cette musique… mais toi, tu viens de me donner la meilleure soirée de l’année.”
On s’est endormis comme ça, encore nus, encore moites, sans même remettre les draps.
Le lendemain, on est sortis ensemble prendre un café vers la Comédie. Elle avait ses lunettes de soleil, son petit sourire complice, et moi j’étais vidé mais heureux. Quand elle est montée dans le tram 1, direction Paul-Valéry, elle s’est retournée une dernière fois pour me lancer un regard de défi. Un regard qui voulait clairement dire : “À refaire.”
Et depuis ce soir-là, chaque fois que je passe devant ce bar d’Antigone, je peux pas m’empêcher de sourire. Parce que je sais qu’à Montpellier, une soirée BDE, ça peut vite se transformer en marathon sexuel.