Les cougars de Montpellier passent à l’action

Femmes mûres, expérimentées, confiantes… Elles adorent séduire des hommes plus jeunes dans les bars, clubs ou même sur la plage. Ici, les aventures sont directes et torrides.

Trouve une cougar montpelliéraine
Lieux chauds :
Bars chics de l’ÉcussonQuartier AntigonePlage de CarnonClubs privés près d’OdysseumTerrasses animées de la Comédie
Ce qu'on aime faire :
Cougars qui draguent les jeunes dans les barsRencontres torrides sur la plage en soiréeSoirées privées où les femmes mûres prennent l’initiativePlans rapides dans des hôtels discretsFlirts brûlants dans les clubs branchés

Une cougar m’a emmené dans son appart près de la Comédie

J’étais sorti d’un amphi un peu trop long ce jeudi soir. Comme souvent à Montpellier, j’avais filé vers la Comédie pour boire une bière pas chère et regarder passer le monde. J’ai 23 ans, étudiant un peu dissipé, pas vraiment en couple, et clairement ouvert aux expériences. Ce soir-là, j’étais loin de me douter que j’allais tomber sur Valérie.

Je la repère avant même de savoir qu’elle va me choisir. Elle était attablée seule sur la terrasse d’un bar qui donne directement sur l’Opéra. La cinquantaine assumée, robe rouge ajustée, talons hauts, cheveux bruns coiffés avec soin. Elle buvait un verre de vin rouge et fumait une cigarette fine. Je me dis direct : classe, mature, inaccessible. Mais ses yeux m’ont croisé et elle a souri. Et ça, c’était le début.

J’allais commander au comptoir quand elle m’a lancé :
— Tu bois tout seul ?
J’ai tourné la tête, un peu surpris.
— Ouais, j’attends des potes, j’ai dit pour la forme.
— Dommage. Tu peux venir t’asseoir en attendant.

Je n’ai pas réfléchi. J’ai pris ma pinte et je me suis installé. On a discuté, vite. Elle s’appelait Valérie, bossait dans l’immobilier à Montpellier, divorcée depuis trois ans. Elle m’a posé des questions directes : tu as quel âge, tu vis où, tu es dispo ce soir ? J’étais presque gêné de son aplomb, mais j’ai adoré. Elle me fixait avec des yeux qui ne rigolaient pas. Sa main a fini par se poser sur ma cuisse, tranquillement, sans demander. J’ai bandé en une seconde.

— T’as pas froid avec ton jean si serré ? m’a-t-elle glissé en rigolant.
Je savais qu’elle avait senti ma queue durcir.

On a vidé nos verres, elle a payé avant que je puisse sortir ma carte. Elle s’est levée, a ramassé son sac, et m’a dit :
— J’habite pas loin, tu viens ?

Je l’ai suivie comme un chien. On a traversé l’Écusson, les pavés, les ruelles étroites. Elle avançait vite, ses talons claquaient. Arrivé devant un vieil immeuble rénové, elle a sorti ses clés, m’a tiré par la main et on est montés. Son appart était spacieux, moderne, avec vue sur les toits. Elle a balancé son sac, enlevé ses talons, et m’a collé contre la porte avant même que je dise un mot. Sa bouche sur la mienne, sa langue qui fouille, ses mains qui déboutonnent déjà ma chemise.

Valérie n’était pas là pour perdre du temps. Elle m’a poussé sur son canapé, s’est agenouillée et a sorti ma queue sans prévenir. Sa bouche chaude m’a englouti direct. Une succion lente, profonde, rythmée comme si elle me montrait son expérience. Je gémissais, la tête renversée. Elle levait les yeux vers moi en pompant, avec ce sourire en coin qui disait : tu ne sais pas à qui tu as affaire.

Je n’ai pas tenu longtemps avant de vouloir reprendre le contrôle. Je l’ai tirée vers moi, j’ai glissé mes mains sous sa robe, j’ai senti sa culotte déjà trempée. Je l’ai enlevée d’un coup, j’ai écarté ses cuisses et je l’ai léchée sans attendre. Son goût salé, son odeur forte, sa chatte rasée qui coulait déjà. Elle s’est cambrée, a attrapé mes cheveux, a guidé ma langue. Elle gémissait fort, sans retenue. “Lèche plus vite… oui… oui là…” Elle avait ce ton de prof qui dirige son élève, sauf que j’adorais être son jouet.

Quand elle en a eu marre, elle s’est levée, a enlevé sa robe, et s’est retrouvée nue devant moi. Son corps de femme mûre, avec ses formes, ses seins lourds, ses hanches pleines, m’a excité encore plus que prévu. Pas de complexes, pas de faux-semblants : elle me montrait tout, sûre d’elle. Elle s’est mise à quatre pattes sur le canapé, m’a regardé par-dessus son épaule et a dit :
— Baise-moi maintenant.

J’ai enfilé une capote à la va-vite et je me suis enfoncé en elle d’un coup sec. Elle a crié, pas de douleur, mais de plaisir brutal. Je l’ai prise en levrette, mes mains serrant ses hanches, mes coups de reins rapides et profonds. Ses fesses claquaient, sa chatte coulait, ses cris emplissaient l’appart. Elle se retournait parfois, son rouge à lèvres déjà bousillé, ses cheveux décoiffés, pour me dire : “Plus fort ! Allez, défonce-moi !”

Je changeais de rythme, je sortais presque entièrement avant de replonger, elle hurlait, ses ongles s’accrochaient au canapé. Je la retournais en missionnaire, ses jambes autour de ma taille, ses seins contre mon torse. Elle me griffait, me mordait, m’embrassait avec une intensité folle. Elle jouissait plusieurs fois, tremblant, haletant, me suppliant de ne pas m’arrêter.

À un moment, elle m’a repoussé, m’a mis à plat dos, et a grimpé sur moi. Sa chatte m’a englouti, elle a commencé à me chevaucher comme une furie. Ses seins se balançaient, ses mains sur mes épaules, son bassin martelait le mien. Je la regardais, subjugué par son autorité, son énergie. Elle me baisait, clairement. Elle dirigeait, imposait le rythme, me faisait tenir plus longtemps que prévu.

Quand je n’ai plus tenu, je l’ai prévenue. Elle a souri, a accéléré encore, et j’ai joui dans la capote avec un cri étranglé. Elle s’est laissée tomber sur moi, trempée, épuisée, mais avec ce regard satisfait d’une femme qui a obtenu exactement ce qu’elle voulait.

On est restés quelques minutes enlacés, à reprendre notre souffle. Puis elle s’est levée, nue, superbe, est allée chercher deux verres de vin. Elle m’a tendu le mien et m’a dit en souriant :
— T’es mignon, mais ce soir, c’est moi qui t’ai choisi.

Et là, j’ai compris ce que c’était vraiment, une cougar. Une femme qui sait ce qu’elle veut, qui n’attend pas qu’on vienne la draguer, qui prend, qui baise, et qui savoure sans excuses.

Je suis reparti vers trois heures du matin, vidé mais le sourire aux lèvres. Place de la Comédie était presque déserte, mais moi, je savais que je venais de vivre ma meilleure leçon de sexe depuis longtemps.

Rencontre torride avec une femme mûre à Carnon

J’étais installé au bar du Crowne Plaza à Odysseum, un jeudi soir. Je tuais le temps avant une séance ciné. Un demi devant moi, ambiance feutrée, fauteuils confortables, et puis elle.

Isabelle. La quarantaine bien tapée, mais carrément bandante. Robe noire moulante, talons qui allongent ses jambes, brushing nickel. Une vraie cougar qui sait qu’elle plaît. Elle me regarde direct, me sourit, lève son verre de blanc. J’ai 25 ans, et rien que ce sourire, ça m’a foutu la trique.

Elle m’appelle d’un signe de main. Pas timide. Je m’approche.
— Assieds-toi. Tu bois quoi ?
Je bafouille une blonde locale. Elle commande pour moi. Elle me fixe, sûre d’elle. Après trois phrases de politesse, elle me coupe :
— T’as un corps qui me plaît. Et une bonne gueule. Tu veux monter avec moi ?
J’ai à peine le temps de hocher la tête qu’elle paie et me chope par la main.

Ascenseur, silence, tension. Elle se colle, sa main presse ma queue à travers mon jean. Je bande comme un âne, elle rigole :
— Je savais.

On entre dans la chambre. Elle claque la porte, me plaque contre et m’embrasse sauvagement. Sa langue m’envahit, ses mains déboutonnent déjà ma braguette. En dix secondes, ma bite est dehors, raide. Elle se met à genoux, m’avale sans un mot. Putain sa bouche… chaude, profonde, elle me pompe comme si elle voulait me vider tout de suite. Elle suce salement, me regarde en coin, bave, crache, me branle en même temps.
— Mmmh… je vais te vider comme un gosse, murmure-t-elle en avalant ma queue.

Je la tire par les cheveux, je lui baise la bouche, je frappe sa gorge, elle adore, elle se laisse faire. Je la relève, je soulève sa robe. Culotte noire, trempée. Je la déchire presque, je plonge mes doigts dans sa chatte chaude. Elle est déjà inondée.
— Putain ouais, continue, branle-moi bien, je veux ta bite !

Je la balance sur le lit, elle écarte les jambes, offre son cul rebondi, ses bas noirs qui serrent ses cuisses. Je lèche sa chatte, son clito gonflé, je la bouffe comme une chienne. Elle crie, elle m’écrase la tête :
— Lèche-moi salement, oui, bouffe ma chatte, suce mon clito !

Elle gicle presque sur ma bouche, puis me repousse :
— Mets ta bite. Maintenant.

Je capote en vitesse, je la prends en missionnaire. Gros coup de rein, ma queue la perce, elle hurle. Je lui baise la chatte à coups secs, ses seins lourds rebondissent, ses ongles me griffent le dos. Elle me dit :
— Plus fort ! Défonce-moi, je veux sentir tes couilles claquer !

Je change, je la retourne en levrette. Je la prends comme une salope, fort, rapide. Je lui claque le cul, les fesses rouges, elle gémit encore plus.
— Oui putain, défonce-moi ! Tu baises mieux que mon ex-mari, vas-y, déchire-moi !

Sa chatte avale ma bite, je sens ses spasmes, elle jouit en tremblant, mais elle ne me lâche pas. Elle veut plus. Je me retire, je frotte ma queue contre son trou du cul. Elle grogne, mais dit oui :
— Vas-y, enfonce-la, prends-moi au cul, j’adore ça !

Je crache, je frotte, je pousse, je rentre. Son cul est serré comme un étau, elle hurle, elle se cambrent, ses mains agrippent les draps.
— Oh ouais putain ! Défonce-moi le cul, je veux ta bite partout !

Je l’encule brutalement, ma queue disparaît et réapparaît dans son trou, mes coups secs font claquer ses fesses. Elle suce ses doigts en même temps, elle est en transe. Je la fais jouir encore, son corps tremble, elle bave presque.

Quand je sens que ça monte, je sors, j’arrache la capote. Elle se met à genoux, bouche ouverte, langue tirée. Je me branle fort et j’arrose son visage, sa bouche, ses seins. Elle avale, elle s’enduit de sperme, elle se caresse en même temps. Elle jouit une dernière fois, secouée, foutue.

Elle s’allonge, nue, couverte de foutre, rouge à lèvres effacé, cheveux en bataille. Elle rigole, haletante :
— Voilà pourquoi j’aime les petits jeunes. Vous êtes des bêtes.

On boit un verre d’eau, on fume une clope à la fenêtre, nus. Elle me dit cash :
— Pas d’histoire d’amour. Juste du sexe. Mais si tu veux, tu peux revenir.

Je pars deux heures plus tard, vidé, les jambes tremblantes. Dans la rue d’Odysseum, je marche encore avec la queue lourde et ce sourire de mec qui vient de se faire démonter par une vraie cougar.

À Montpellier, les cougars n’attendent pas

Un jeudi soir, je sors d’un afterwork à Antigone. Les terrasses sont encore pleines, les lumières des colonnes s’allongent sur les pavés, et l’air est doux. Je me pose à une table seule pour boire une bière. C’est là que je la vois.

Elle s’appelle Carole. Quarante-sept ans, tailleur strict, chemisier blanc un peu ouvert, jupe crayon. Les cheveux blonds relevés, les lunettes fines, un corps qu’elle entretient clairement. Elle discute au téléphone, un ton sec, autoritaire. Quand elle raccroche, elle croise mon regard. Pas un sourire timide : un regard qui jauge, qui teste, qui choisit.

Elle se lève, verre de vin à la main, et vient à ma table.
— Tu attends quelqu’un ?
— Non.
— Parfait. Tu m’accompagnes un moment.

Pas une question. Un ordre. Je kiffe direct. On parle un peu, mais vite elle sort le sujet :
— Tu es étudiant ?
— Oui.
— Tu as envie de moi ?
Je reste bouche bée une seconde, puis je dis : “Carrément.”
Elle rit. Elle pose sa main sur ma cuisse sous la table. Sa paume chaude appuie pile sur ma bite déjà dure.
— Alors suis-moi.

On traverse le quartier Antigone, ses colonnes, ses arches. Elle marche vite, ses talons claquent. On arrive à un appart moderne au dernier étage, avec terrasse qui donne sur la place du Nombre d’Or. Grande baie vitrée, lumière tamisée. Elle ne perd pas de temps. Elle pose son sac, enlève ses talons, et m’ordonne :
— Mets-toi à genoux.

Je m’exécute. Elle se tient devant moi, elle ouvre sa jupe, enlève sa culotte en dentelle. Elle me prend par les cheveux, plaque sa chatte contre ma bouche.
— Bouffe-moi. Lèche-moi jusqu’à ce que je jouisse.

Je plonge ma langue, je lèche son clito, je l’aspire. Elle me domine, me guide, m’écrase le visage contre sa chatte mouillée. Elle gémit, ses mains serrent mes cheveux, elle m’étouffe presque. Je lèche sans m’arrêter, je sens son goût puissant, ses spasmes qui montent. Elle crie :
— Oui, là, continue, bonne petite langue… oui putain !

Elle jouit fort, tremble, puis me repousse.
— Dégrafe ton pantalon.

Elle me sort la bite, déjà raide. Elle la caresse, puis s’agenouille cette fois. Et là, c’est un carnage. Sa bouche m’avale toute, elle me pompe avec une intensité de malade. Salive qui coule, bruit de gorge, elle me branle, me suce profond, se retire pour me gifler la bite, puis recommence. Elle me regarde avec ses yeux clairs, un sourire carnassier autour de ma queue.
— Tu tiens bien, c’est bon signe.

Elle se relève, se déshabille lentement, me laissant admirer son corps mûr, ses seins lourds, son ventre plat, ses fesses pleines. Elle se jette sur le canapé, jambes écartées.
— Viens me remplir.

Je mets une capote, je la pénètre fort en missionnaire. Ses jambes s’enroulent autour de moi, elle me griffe le dos, me mord la lèvre. Je la prends vite, mes coups de reins la font gémir, mais elle me renverse d’un coup.
— Non. C’est moi qui baise ici.

Elle monte sur moi, m’empale, et se met à me chevaucher comme une reine. Ses seins dansent devant mes yeux, je les attrape, je les lèche, mais elle me repousse les mains :
— Ne touche pas. Regarde seulement.

Elle gère tout. Elle roule des hanches, elle me fait bander encore plus, elle me fait durer. Elle accélère, ralentit, change d’angle, me torture presque. Je suis fou. Elle jouit encore, ses gémissements résonnent dans la pièce, puis elle se retire et se met à quatre pattes.
— Maintenant, prends-moi comme une pute. Défonce-moi.

Je ne me fais pas prier. Je la prends en levrette, mes mains sur ses hanches, mes coups secs et profonds. Je lui claque le cul, ses fesses rougissent, elle crie :
— Oui, encore, plus fort ! Déchire-moi !

Elle se cambre, sa chatte inonde ma queue, elle jouit encore, secouée. Moi, je suis au bord. Elle le sent, elle se dégage, se retourne, se met à genoux devant moi.
— Gicle sur mes seins, j’adore ça.

Je me branle deux secondes et je jouis fort, mes jets s’écrasent sur sa poitrine, son cou, son ventre. Elle rit, elle étale mon sperme avec ses doigts, elle s’en badigeonne comme si c’était une crème.
— Voilà. Un vrai bon jeune.

Elle se lève, va chercher deux verres d’eau, me les tend. On s’assoit nus sur sa terrasse, encore en sueur, Montpellier qui brille sous nous. Elle sourit, satisfaite.
— Tu repasseras. Mais souviens-toi, ici, c’est moi qui commande.

Et putain, j’ai su que je reviendrais.

Montpellier, terrain de chasse des cougars

Bars, clubs, plages et soirées privées… Les cougars montpelliéraines adorent séduire et s’offrir des partenaires plus jeunes, prêts à suivre leurs envies brûlantes.

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