Une cougar m’a emmené dans son appart près de la Comédie
J’étais sorti d’un amphi un peu trop long ce jeudi soir. Comme souvent à Montpellier, j’avais filé vers la Comédie pour boire une bière pas chère et regarder passer le monde. J’ai 23 ans, étudiant un peu dissipé, pas vraiment en couple, et clairement ouvert aux expériences. Ce soir-là, j’étais loin de me douter que j’allais tomber sur Valérie.
Je la repère avant même de savoir qu’elle va me choisir. Elle était attablée seule sur la terrasse d’un bar qui donne directement sur l’Opéra. La cinquantaine assumée, robe rouge ajustée, talons hauts, cheveux bruns coiffés avec soin. Elle buvait un verre de vin rouge et fumait une cigarette fine. Je me dis direct : classe, mature, inaccessible. Mais ses yeux m’ont croisé et elle a souri. Et ça, c’était le début.
J’allais commander au comptoir quand elle m’a lancé :
— Tu bois tout seul ?
J’ai tourné la tête, un peu surpris.
— Ouais, j’attends des potes, j’ai dit pour la forme.
— Dommage. Tu peux venir t’asseoir en attendant.
Je n’ai pas réfléchi. J’ai pris ma pinte et je me suis installé. On a discuté, vite. Elle s’appelait Valérie, bossait dans l’immobilier à Montpellier, divorcée depuis trois ans. Elle m’a posé des questions directes : tu as quel âge, tu vis où, tu es dispo ce soir ? J’étais presque gêné de son aplomb, mais j’ai adoré. Elle me fixait avec des yeux qui ne rigolaient pas. Sa main a fini par se poser sur ma cuisse, tranquillement, sans demander. J’ai bandé en une seconde.
— T’as pas froid avec ton jean si serré ? m’a-t-elle glissé en rigolant.
Je savais qu’elle avait senti ma queue durcir.
On a vidé nos verres, elle a payé avant que je puisse sortir ma carte. Elle s’est levée, a ramassé son sac, et m’a dit :
— J’habite pas loin, tu viens ?
Je l’ai suivie comme un chien. On a traversé l’Écusson, les pavés, les ruelles étroites. Elle avançait vite, ses talons claquaient. Arrivé devant un vieil immeuble rénové, elle a sorti ses clés, m’a tiré par la main et on est montés. Son appart était spacieux, moderne, avec vue sur les toits. Elle a balancé son sac, enlevé ses talons, et m’a collé contre la porte avant même que je dise un mot. Sa bouche sur la mienne, sa langue qui fouille, ses mains qui déboutonnent déjà ma chemise.
Valérie n’était pas là pour perdre du temps. Elle m’a poussé sur son canapé, s’est agenouillée et a sorti ma queue sans prévenir. Sa bouche chaude m’a englouti direct. Une succion lente, profonde, rythmée comme si elle me montrait son expérience. Je gémissais, la tête renversée. Elle levait les yeux vers moi en pompant, avec ce sourire en coin qui disait : tu ne sais pas à qui tu as affaire.
Je n’ai pas tenu longtemps avant de vouloir reprendre le contrôle. Je l’ai tirée vers moi, j’ai glissé mes mains sous sa robe, j’ai senti sa culotte déjà trempée. Je l’ai enlevée d’un coup, j’ai écarté ses cuisses et je l’ai léchée sans attendre. Son goût salé, son odeur forte, sa chatte rasée qui coulait déjà. Elle s’est cambrée, a attrapé mes cheveux, a guidé ma langue. Elle gémissait fort, sans retenue. “Lèche plus vite… oui… oui là…” Elle avait ce ton de prof qui dirige son élève, sauf que j’adorais être son jouet.
Quand elle en a eu marre, elle s’est levée, a enlevé sa robe, et s’est retrouvée nue devant moi. Son corps de femme mûre, avec ses formes, ses seins lourds, ses hanches pleines, m’a excité encore plus que prévu. Pas de complexes, pas de faux-semblants : elle me montrait tout, sûre d’elle. Elle s’est mise à quatre pattes sur le canapé, m’a regardé par-dessus son épaule et a dit :
— Baise-moi maintenant.
J’ai enfilé une capote à la va-vite et je me suis enfoncé en elle d’un coup sec. Elle a crié, pas de douleur, mais de plaisir brutal. Je l’ai prise en levrette, mes mains serrant ses hanches, mes coups de reins rapides et profonds. Ses fesses claquaient, sa chatte coulait, ses cris emplissaient l’appart. Elle se retournait parfois, son rouge à lèvres déjà bousillé, ses cheveux décoiffés, pour me dire : “Plus fort ! Allez, défonce-moi !”
Je changeais de rythme, je sortais presque entièrement avant de replonger, elle hurlait, ses ongles s’accrochaient au canapé. Je la retournais en missionnaire, ses jambes autour de ma taille, ses seins contre mon torse. Elle me griffait, me mordait, m’embrassait avec une intensité folle. Elle jouissait plusieurs fois, tremblant, haletant, me suppliant de ne pas m’arrêter.
À un moment, elle m’a repoussé, m’a mis à plat dos, et a grimpé sur moi. Sa chatte m’a englouti, elle a commencé à me chevaucher comme une furie. Ses seins se balançaient, ses mains sur mes épaules, son bassin martelait le mien. Je la regardais, subjugué par son autorité, son énergie. Elle me baisait, clairement. Elle dirigeait, imposait le rythme, me faisait tenir plus longtemps que prévu.
Quand je n’ai plus tenu, je l’ai prévenue. Elle a souri, a accéléré encore, et j’ai joui dans la capote avec un cri étranglé. Elle s’est laissée tomber sur moi, trempée, épuisée, mais avec ce regard satisfait d’une femme qui a obtenu exactement ce qu’elle voulait.
On est restés quelques minutes enlacés, à reprendre notre souffle. Puis elle s’est levée, nue, superbe, est allée chercher deux verres de vin. Elle m’a tendu le mien et m’a dit en souriant :
— T’es mignon, mais ce soir, c’est moi qui t’ai choisi.
Et là, j’ai compris ce que c’était vraiment, une cougar. Une femme qui sait ce qu’elle veut, qui n’attend pas qu’on vienne la draguer, qui prend, qui baise, et qui savoure sans excuses.
Je suis reparti vers trois heures du matin, vidé mais le sourire aux lèvres. Place de la Comédie était presque déserte, mais moi, je savais que je venais de vivre ma meilleure leçon de sexe depuis longtemps.