Un jeune amant dans un chalet de la Ville d’Hiver
J’avais matché avec Isabelle sur l’appli un jeudi soir. Son profil m’avait direct accroché : 48 ans, divorcée, deux enfants grands déjà partis, installée seule dans un superbe appart avec vue sur la plage Pereire. Elle affichait un sourire de femme sûre d’elle, un décolleté généreux et des jambes interminables sur ses photos en robe d’été. Moi, 27 ans, un peu intimidé par ce genre de femme expérimentée, mais excité rien qu’à l’idée de la rencontrer.
On s’est donné rendez-vous dans un bar à huîtres du centre-ville, pas loin du marché couvert. Elle est arrivée en robe blanche légère, bronzée, parfum envoûtant, lunettes de soleil qu’elle a retirées pour me fusiller du regard. Isabelle avait ce truc qu’ont les femmes qui savent ce qu’elles veulent : assurance, sensualité, et une façon de se pencher pour commander qui me montrait déjà la naissance de ses seins.
On a bu un verre de blanc, parlé de voyages, de ses années de mariage, de mes petits plans étudiants. Elle glissait parfois sa main sur ma cuisse, comme pour tester ma réaction. J’étais déjà dur, et elle l’a remarqué :
— "Tu crois que je vois pas comme tu bandes sous la table ?"
Son ton mi-moqueur, mi-excité m’a donné des frissons.
On a fini nos verres et elle a proposé de marcher jusqu’à chez elle, sur le front de mer, direction Pereire. Son appart donnait directement sur la plage, avec une terrasse immense. Une fois la porte refermée, elle m’a plaqué contre le mur pour m’embrasser goulûment, langue contre langue, main sur ma queue qui bandait à bloc à travers mon jean.
— "Mmmh, j’adore sentir un jeune dur comme ça… Tu vas me faire crier, je le sens."
Elle m’a entraîné dans son salon, s’est assise sur le canapé et a croisé les jambes, lentement, dévoilant qu’elle ne portait pas de culotte sous sa robe. Son pubis épilé brillait légèrement. J’étais hypnotisé.
— "Allez, déshabille-toi et montre-moi ce que tu as dans le pantalon."
Je me suis exécuté, mon sexe dur comme jamais. Elle a souri, a attrapé ma bite d’une main ferme et a commencé à me branler doucement, tout en se caressant elle-même avec l’autre main. Ses gémissements montaient déjà. Puis elle s’est penchée, a englouti mon sexe entier dans sa bouche, jouant avec sa langue, me regardant dans les yeux comme pour me dominer. Je n’ai jamais ressenti une succion aussi experte. Elle savait exactement comment me faire jouir… mais s’arrêtait toujours avant.
— "Non, pas encore. Je veux sentir ta queue en moi, là, maintenant."
Elle s’est allongée sur le canapé, jambes grandes ouvertes, et j’ai plongé ma langue dans sa chatte trempée. Son goût salé, son odeur de femme mûre et chaude m’excitaient au maximum. Elle poussait des cris, se cambrant, tirant mes cheveux pour que je la lèche plus fort. Ses cuisses se serraient sur ma tête quand elle a joui une première fois, secouée de spasmes.
Sans attendre, je me suis redressé et je l’ai pénétrée d’un coup sec. Sa chatte chaude et serrée m’a enveloppé comme un étau. Elle a gémi fort :
— "Oh putain, oui ! Baise-moi fort, plus fort, mon petit !"
Je lui martelais le bassin, ses seins rebondissant sous sa robe remontée, ses ongles s’enfonçant dans mon dos. Elle adorait que je la prenne en levrette : elle s’est mise à quatre pattes sur le canapé, fesses bien hautes, me suppliant :
— "Allez, prends-moi comme une salope, défonce-moi."
Je l’ai pénétrée de nouveau, claquant mes hanches contre ses fesses. Chaque coup faisait trembler son corps, ses gémissements emplissaient l’appart. La vue sur la mer derrière nous ajoutait à la scène un côté irréel. Elle se touchait le clito en même temps, et a joui encore, mouillant ma queue d’un jus abondant.
Je sentais que je n’allais pas tenir. Elle l’a compris et s’est retournée vite pour finir à genoux, me suçant goulûment jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche. Elle a tout avalé, me fixant avec un regard de prédatrice.
On est restés un moment collés, encore haletants, la mer en toile de fond. Elle m’a murmuré à l’oreille :
— "Tu reviendras, hein ? J’ai pas fini de t’apprendre ce que c’est qu’une vraie femme."
Et moi, évidemment, je savais déjà que je ne pourrais pas lui résister.