J’ai baisé une MILF incontrôlable près de la place Plum’
J’ai maté cette femme pour la première fois un samedi soir, au bar Le Pale, en plein centre de Tours. Elle s’appelait Sophie, la quarantaine flamboyante, décolleté assumé, talons qui claquent sur le carrelage comme une invitation. Rien à voir avec les gamines qu’on croise à la fac ou dans les bars à cocktails : elle dégageait une assurance brute, une envie de jouer, de croquer, et ça se sentait dans chaque regard qu’elle posait sur moi.
On a commencé à discuter au comptoir, deux verres de Vouvray entre nous. Sa main venait souvent se poser sur mon avant-bras, comme si elle voulait tester ma chaleur. Elle m’a parlé de ses sorties au Guinguette de Tours-sur-Loire, des jeunes mecs qu’elle « éduquait » parfois, en rigolant. J’étais déjà en feu.
Vers minuit, elle m’a glissé : « Tu viens ? » Rien de plus. On a traversé la place Plumereau, les pavés résonnant sous nos pas rapides, et on s’est engouffrés dans sa petite maison près de la rue Colbert. À peine la porte fermée, elle m’a plaqué contre le mur, ses lèvres chaudes écrasant les miennes, sa langue exigeante, dominante.
Je sentais son parfum enivrant, son corps mature qui n’avait rien perdu de sa fermeté. Elle a pris les choses en main comme une pro : elle a déchiré ma chemise, me poussant sur le canapé sans même me laisser respirer. Ses seins lourds jaillissaient de son soutien-gorge noir, et elle me forçait à les prendre en bouche, gémissant comme si elle reprenait vie.
Quand elle m’a chevauché, nue, ses hanches roulant avec une assurance incroyable, j’ai compris ce que voulait dire le cliché « expérience ». Elle savait exactement comment m’allumer, comment serrer, comment relâcher. Elle me regardait droit dans les yeux en se frottant sur moi, ses ongles marquant ma peau, et sa voix rauque lâchait des « Oui… encore… ».
On a fini par glisser dans sa chambre, grande baie vitrée donnant sur les toits de Tours. Elle m’a attaché les poignets avec son foulard, sourire carnassier, et m’a utilisé comme un jouet, jouissant plusieurs fois en se cambrant, laissant son parfum et sa sueur envahir la pièce. Quand elle s’est enfin écroulée contre moi, haletante, elle a murmuré : « T’es pas mal pour un jeune. Mais j’ai encore mille choses à t’apprendre… »
Depuis, chaque fois que je passe près de la Loire ou que je sors place Plum’, j’ai cette chaleur qui me remonte direct, en pensant à Sophie et à son corps mature qui m’a retourné comme personne.