Reims, ville du champagne… et du sexe sans tabou

La nuit était tombée sur Reims, les terrasses de la place d’Erlon encore pleines de rires et de verres de champagne qui s’entrechoquaient. Julie, 28 ans, venait de quitter un bar où elle avait bu quelques coupes avec Marc, 35 ans, rencontré plus tôt sur l’appli. Ils avaient accroché tout de suite, mais ce soir, l’idée était claire : un plan chaud, direct, sans promesse du lendemain.

Ils longèrent les pavés du centre avant de s’arrêter devant un hôtel discret à deux pas de la gare. Pas de détour : une fois la clé en main, ils montèrent à la chambre 214. Dès la porte fermée, Julie attrapa Marc par le col et l’embrassa à pleine bouche. Leurs langues se mêlèrent aussitôt, leurs mains s’aventurant sous les vêtements.

Marc la plaqua contre le mur, soulevant sa robe courte pour glisser ses doigts dans sa culotte déjà humide. Julie gémit, agrippant sa nuque, ses hanches se balançant contre lui. Elle déboutonna son pantalon, libéra son sexe dur et le caressa avec avidité avant de s’agenouiller pour le prendre en bouche. Ses va-et-vient étaient rapides, sa salive coulant sur ses lèvres, pendant qu’il haletait en lui tenant les cheveux.

Il la releva, la jeta sur le lit et écarta ses cuisses sans attendre. Sa langue descendit entre elles, jouant avec son clitoris, la faisant trembler et gémir sans retenue. Puis il la pénétra, lentement d’abord, puis avec force, ses coups de reins claquant dans la chambre. Julie, ivre de désir, enserra sa taille de ses jambes et le supplia d’aller plus fort.

Ils changèrent de positions : elle grimpa sur lui, le chevauchant avec fougue, ses seins rebondissant sous son rythme effréné. Marc lui agrippait les hanches, grognant de plaisir. Puis elle se mit à quatre pattes, et il la prit brutalement, la faisant crier, le lit grinçant sous la cadence.

Leurs gémissements emplirent la pièce jusqu’à ce que Julie jouisse, tremblante, son corps parcouru de spasmes. Marc, haletant, se libéra peu après, s’effondrant sur elle.

Quelques minutes plus tard, ils s’habillèrent, un sourire complice sur les lèvres. Pas de promesses, juste une nuit torridement réussie. En sortant de l’hôtel, Julie souffla :

— « Reims a ses bulles… mais toi, tu m’as fait exploser. »

Elle s’éloigna dans la nuit, laissant derrière elle un souvenir brûlant et éphémère, exactement comme elle le voulait.

Un vendredi soir d’automne, Reims bruissait encore des rires des touristes et des locaux qui sortaient dîner autour de la place d’Erlon. Mais au détour d’une ruelle, Julie, 28 ans, attendait Marc, 35 ans, devant l’entrée discrète d’une maison de champagne. Ils s’étaient croisés sur l’appli deux jours plus tôt, l’envie montée rapidement, et avaient convenu d’une rencontre sans lendemain. Pas de grands discours, juste un rendez-vous brûlant, dans un cadre qui collait parfaitement à l’ambiance : une cave fraîche, humide, isolée.

Marc arriva en retard, manteau sombre, sourire qui trahissait déjà son excitation. Après un bref baiser volé, il glissa quelques billets au guide qui leur ouvrait la porte avant de disparaître, les laissant seuls dans l’immense cave voutée. L’air sentait le vin et la pierre, le silence n’était troublé que par leurs pas sur le sol humide. Julie frissonna, plus d’excitation que de froid.

Ils s’arrêtèrent entre deux rangées de bouteilles parfaitement alignées. Marc se pencha, captura ses lèvres avec avidité. Leurs langues s’enroulèrent, leurs mains s’égarèrent aussitôt. Julie plaqua son dos contre le mur de pierre fraîche, haletant déjà quand il glissa ses doigts sous sa jupe, trouvant sa culotte trempée. Elle gémit, ses hanches bougeant d’elles-mêmes.

Il s’agenouilla devant elle, repoussa le tissu et enfouit son visage entre ses cuisses. Sa langue traçait des cercles précis, alternant succion et caresses, jusqu’à la faire gémir sans retenue. L’écho dans la cave amplifiait chaque son, chaque soupir, comme une musique secrète. Julie agrippait ses cheveux, secouée par les vagues de plaisir.

Mais elle en voulait plus. Elle tira Marc vers elle, déboutonna sa ceinture et sortit son sexe dur. Elle s’agenouilla sur la pierre froide, le prenant en bouche avec avidité. Sa langue l’entourait, ses lèvres le serraient, sa salive dégoulinait sur ses mains. Marc grognait, caressant sa nuque, ses yeux rivés sur elle.

Il la releva brusquement, la retourna et écarta sa jupe. D’un coup sec, il la pénétra par derrière. Julie cria, ses mains plaquées contre la pierre humide, ses seins ballotant sous les coups puissants de Marc. Leurs corps claquaient, le bruit résonnant dans toute la cave. Elle adorait cette brutalité, ce contraste entre le lieu sacré du champagne et la baise sauvage qu’ils y inscrivaient.

Ils changèrent encore. Julie s’assit sur une caisse de bouteilles, jambes grandes ouvertes. Marc la pénétra face à face, leurs regards accrochés, leurs souffles mêlés. Elle le griffait, le mordait, haletait à chaque va-et-vient plus profond. Puis, ivre de désir, elle bascula sur lui, le chevauchant avec frénésie, ses hanches roulant comme une vague. Les bouteilles vibraient autour d’eux, comme si le lieu tout entier participait à leur étreinte.

Le rythme devint fou. Marc la renversa une dernière fois, la prit à quatre pattes au milieu du couloir de pierre, la baisant sans répit jusqu’à la faire jouir, tremblante, gémissant son prénom qui résonnait comme une incantation. Il se libéra à son tour dans un râle guttural, se laissant tomber contre son dos.

Ils restèrent là un instant, en sueur, leurs respirations résonnant dans la pénombre. Puis ils se rhabillèrent, silencieux, seulement ponctués par quelques rires nerveux. Julie remit sa culotte, encore humide, Marc replaça sa ceinture. Aucun mot sur un futur. Juste un regard complice, comme une signature.

En quittant la cave, la nuit de Reims les accueillit, paisible, indifférente. Julie embrassa Marc une dernière fois avant de disparaître dans la rue. Elle savait qu’elle ne le reverrait pas. Mais chaque fois qu’elle boirait du champagne désormais, elle se rappellerait cette cave, ce goût de pierre, de vin… et de sexe brut.